3ème, ‘Sosegado’, nº 62, noir, né le 19/04, pesant 543 kilos, du ranch Montalvo, combattu par Ginés Marín

Avec beaucoup de sérieux et d’expression, astifino, masqué, mais montrant les lames, légèrement touchées et de la longueur d’un python. Coupe basse, avec plus de cou que la précédente. Il n’est pas utilisé dans la réception de la couche de Gines Marin. Il part droit sur le cheval, où il reçoit deux coups de poing tombés. Il a tendance à charger humilié pendant le tercio de banderillas.

Béquille : Ginés Marín va bientôt se marier au centre du ring. Le taureau n’a qu’une bonne embroque, car il lui est très difficile de se déplacer et ses attaques sont plus défensives dans ces zones. L’homme d’Estrémadure doit en avaler beaucoup dans cette première série dessinée avec une énorme fermeté. Il le ferme aux terres du tercio, mais le taureau est déjà très vétuste. Arrangement de Ginés Marín qui essaie toujours de bien tracer les béquilles sous la lame du piton.

2e, ‘Carabinero’, nº 21, noir, né le 18/12, pesant 577 kilos, du ranch Montalvo, combattu par Paco Ureña

Très caillé, sérieux, fini, un peu noyé dans le cou. Il charge bien, bien qu’en jetant parfois un peu les mains en avant, il reçoive les pieds joints de Paco Urena. Le taureau démarre promptement au premier coup de poing, dans lequel il pousse avec le piton gauche. Le taureau est surpris Jean-François Pena au deuxième coup de poing. Retirer Gines Marin par des chicuelinas serrées, terminées par un bas désinvolte et une serpentine pour sortir de la gueule du taureau. donner une réponse paco urena par des gaoneras très arrachées, réduisant encore l’assaut durant son parcours. Tiers effectif des banderilles. griller Uréna le travail à Pépin Jiménez et Ortega Cano.

Béquille : commencer paco urena par la statuaire, pour finir ensuite le fond par de petites tranchées et naturelles, dans lesquelles le taureau perd ses mains et n’est pas tout à fait propre. Une première série main droite dans le terrain du tercio, pour prendre de la hauteur et du rythme aux assauts du cornu. Il perd ses mains Montalvo dans la troisième béquille et l’empêche de rompre la tâche. Le taureau a de bonnes choses et de la noblesse, mais il repose toujours sur ses mains, il est donc difficile de répéter les attaques. De plus, ceux-ci sont plus en ligne droite qu’en courbes. Un par un et en terrain suburbain, le Murcien réalise une série naturelle avec une chance très ouverte, enfoncée dans les reins et toujours à la recherche d’une bonne position, très frontale avec le taureau. Le taureau arrive plus arrêté dans le suivant, très délabré. Il atteint habilement, même si l’épée tombe bas.

Premier: ‘Giraldino’, nº 9, un bragado noir méchant, né le 18/11, pesant 546 kilos, du troupeau María Guiomar Cortés de Moura, combattu par Diego Ventura

Face ouverte, basse, avec encolure. Il sort du ventilateur de sortie, sans trop de fixité. l’arrête Diego Ventura sur le python gauche, il se détache. Laissez une seule grille de punition. Il a l’allure du taureau et un galop soutenu dans son galop. partir avec ‘Fabuleux’ un galop magistral parallèle aux tables, le taureau étant porté serré sur toute la circonférence de l’arène, pour ensuite pénétrer à l’intérieur. Banderille de puissance à puissance au centre de l’anneau. Après une autre banderille au sommet, battant le python opposé, il quitte la face du taureau en faisant la ‘Hermosina’. D’autres plus partiaux, de l’intérieur vers l’extérieur, qui ont du mérite et de la vibration. conduire Fortune pour ‘Désordre’ et laisse une grande banderille en faillite donnant tous les avantages avec un taureau qui a fait la mesure, sans se lancer franchement à sa charge. La corne s’est effondrée Murubé. Le public vit froidement la tâche. Avec ‘Guadiana’ met trois roses et une paire à deux mains. En terre Fortune la grille de la mort à la deuxième tentative, qui plie le taureau sans lacet. Ovation.

Feuille de célébration :

Fer de Montalvo - Espagne

arène de Ventes (Madrid). Quatrième célébration de la Foire de San Isidro. Saisie complète. taureaux de Maria Guiomar Cortes de Moura (1ère et 4ème) et Montalvo,

DIÉGO VENTURAovations.

PACO URÉNApalmiers.

GINES MARIN,