Le premier taureau humilié en bonne condition au cap de paco urena jusqu’à ce qu’il soit blessé lors d’un saut périlleux lors de la réception du droitier murcien, il a été renvoyé. Le chapeau est sorti de La Palmosille, de bons sorts et moins de profil, qui n’avait pas la force de développer pleinement sa bonne condition. Oui, il avait de la noblesse dans la béquille de paco urena, qui était capable de compléter de très longues mains droites à un taureau avec lequel il fallait être très précis dans les hauteurs. Crevaison et fente. Ovation.
Le quatrième était un animal avec plus de présure et d’expression que ses frères. Un taureau noble, sans race, qui avait du mal à répéter ses attaques irrégulières et à se rendre. Il pourrait voler un livré paco urena quelques courses à droite malgré les difficultés que rencontrait un animal sans inertie et sans répétition. Il a exécuté plusieurs naturels très vrais et a renoncé au lien. Vous n’aviez pas raison avec l’acier. Il s’est retrouvé coincé avec le jonchage. Silence après avis.
Photographie : Philippe Gil Mir