Christian Paréjo Il est venu à l’alternative après avoir réussi un exploit, alors que le torero se battait avec les points de son récent goring dans l’arène de Las Ventas. Une course et une préparation contre la montre afin de boucler son doctorat. Un rêve qui est venu, par coïncidence du destin, dans un tête-à-tête avec Sebastián Castella, le jour où il a également célébré le 23e anniversaire de l’alternative. Avec Béziers, comme bannière. La photo finale, les deux sur leurs épaules, sera le souvenir d’un exploit qui a fini par devenir un triomphe.

coup dur Christian Paréjo avec sa dernière cartouche de jandilla Le taureau n’a pas été facile, même s’il a fini par se casser, et Égal, qui ne voulait pas manquer la bataille, il l’a fait sortir de la race pour s’accoupler avec lui. Deux lots naturels très profonds ont fini de convaincre le respectable qui l’a récompensé avec deux oreilles malgré l’utilisation du verduguillo.

Christian Paréjole plus français des Andalous, vint obtenir son doctorat dans son Béziers adoptif. Il a tout mis de son côté, de la réception à la porta gayola en passant par se jeter pour tuer. Mais le maigre jeu de jandilla, un animal très attaché au sol, l’empêchait de s’exhiber. Les béquilles du côté droit ressortaient. Ovation. Égal a été vu avec un autre animal peu profond dans le troisième acte de Béziers. Il a mis la race et la valeur Christian, mais en vain. Silence.