Vendredi dernier, le 3 mai, le Ministre de la Culture, Ernest Urtasun décidé d'éliminer le Prix national taurin de la liste des prix nationaux décernés chaque année. Un prix créé en 2011 par le Président du gouvernement à l'époque, José Luis Rodríguez Zapatero.
Il faut se rappeler que PENTAURE Il s'agit d'un plan stratégique conçu par le Commission nationale des affaires taurines, toujours valable sur la page du Ministère de la Culture, qui vise à promouvoir et garantir le libre exercice de Corrida dans Espagne, actualiser et transmettre à la société la signification de ses valeurs et la validité de sa culture. Il s'agit d'un document qui comporte quatre programmes, objectifs et mesures pour les réaliser.
Le quatrième objectif dudit plan, axé sur la communication, dit littéralement que le Gouvernement espagnol doit « Promouvoir l'importance, la validité et la projection du Corrida en tant que patrimoine culturel et le transmettre à la société dans son ensemble ». Au sein de la section communication, le programme C se concentre sur les récompenses La corrida, dont l'objectif général est « Promouvoir la diffusion de l'octroi du Prix national taurin et les Médailles des Beaux-Arts aux personnalités du monde taurin, pour une plus grande diffusion des valeurs qu'elles représentent, ainsi que des prix ou récompenses décernés en matière taurine par le Communautés autonomes ou les différents secteurs représentés dans le Commission nationale des affaires taurines.
D'un autre côté, le Loi 18/2013, approuvé le 12 novembre dans le Congrès des députés, protège le Corrida comme patrimoine culturel de Espagne, indiquant que 'La Corrida C'est la culture. Il comprend d'autres facettes dignes de protection en plus du spectacle lui-même qu'incarne la corrida moderne. D'ailleurs, le constitution espagnole recueillir dans les articles 44, 46 et 149.2, l'obligation des responsables politiques de protéger et de promouvoir la culture, et donc la fête taurine.
En conclusion, avec cette décision le ministre Ernest Urtasun Ce qu'il fait constitue une illégalité, car non seulement il ne remplit pas ses responsabilités politiques de protection et de promotion de la culture, mais il fonde son activité politique sur une discrimination contre la tauromachie, basée sur des convictions personnelles et arbitraires, comme il l'a déjà montré dans son intervention. dans le programme 'Au rouge vif' de Le sixième, en commençant par un 'Je crois'. Avec ces déclarations, il démontre l'une des pensées qu'il a soulignées Joaquín Möckel dans une interview à Monde : que leur décision est complètement arbitraire. C’est-à-dire en fonction de leurs goûts personnels et en les plaçant devant la loi.