CD’une corrida douce, attachante, et difficile à combattre, rocher roi fait la différence. Le Péruvien est un pilier dans beaucoup de choses mais, en plus d’avoir le meilleur coup chanté de la tauromachie actuelle, quand il faut se retrousser les manches et descendre dans la boue, il le fait avec plus de classe que personne. Son combat jusqu’au troisième a été exemplaire. Pour enseigner dans les écoles. Pour cette raison, entre autres, il a pu se couper l’oreille. La sixième chose mérite un chapitre à part, car seul le Péruvien est capable de désillusionner ce char si cassé, si incertain, si génial. Mais pas pour imposer. Combattre. Serré, ajusté, profond. Une démonstration de force. Mais aussi tempérament, propreté et équilibre. Parce que l’homme de Lima, les cojones, les utilise pour se battre. POUR Château Il a laissé la sensation au moment où un taureau le charge, il peut le gâcher, car au premier, la série qui a duré, il l’a arrosé avec une douceur élégante. ortega Il n’avait pas non plus de taureaux, mais il a pu peindre quatre ou cinq béquilles dans le prologue au cinquième de ceux qu’on n’oublie pas…

Le troisième, agressif, long et fin, plus détaché du sol que ses frères, a été placé au départ. Sur ordre du matador, ils l’ont soigné sur des bâtons, où il a poussé avant d’être relâché. Roca Rey ne s’en est pas mêlée, toujours très consciente d’un combat magistralement mené par ébrécher. Il a offert le Péruvien au public. Il a commencé à se battre sans prouver sur sa main droite, sans même fermer le taureau. Et le départ a été si fort que la musique a commencé à jouer. Deux séries très solides, nourries de béquilles, avec pilotage, réglage et étanchéité. Du côté gauche, le taureau a livré moins, mais la puissance de rocher roi Il a fini par s’imposer, car avalant avant l’embroque, il a su tirer l’attaque avec aplomb et conviction. La péruvienne retentissante. Dans la dernière série à droite, de grande dimension, le taureau chantait déjà la poule et se détachait de chaque embroque. Roca Rey est allé chercher l’épée et a tiré sur l’animal avec un coup d’épée flétrissant. Une performance clairvoyante, d’un personnage taurin.

La sixième chose a élevé encore plus le niveau : Sérieux et fort le burraco qui a clôturé la corrida. Réunis, maïs en avant. Il ne s’est pas livré dans le manteau, il a poussé le visage vers le haut sans s’aider de lui-même et aussi ostensiblement apprivoisé pour ensuite attendre, jeter le visage en l’air et se presser à l’intérieur en banderilles. Bien qu’un tel comportement incite à la prudence, le Limanais n’y a pas hésité et, profondément enraciné dans le sable, a signé un début de tâche spectaculaire. Stoïque. La dernière béquille, regardant la pose, a déjà mis les gens sur leurs pieds. Ce qui suivit fut la tâche la plus lourde de son temps en La Maestranza. Parce qu’il a su mettre de l’ordre dans un chaos d’arreones, de mouvements et de désirs. Et pour cause, il l’a fait avec une seule intention : la tauromachie.

Très enfoncé dans le sable, serein, sans à-coups ni gestes, sans forcer sa silhouette non plus, il attendait qu’il l’embarque judicieusement et même expressivement de la main droite, tandis que de la main gauche il avalait beaucoup l’animal, avec la béquille à hauteur de cuisse, pour donner de la dimension à la poussée rapprochée de son ennemi. Accablant. Insultant. Une poussée contraire de binging sur le taureau, qui nécessitait l’aval du pisser, l’a sûrement privé de la deuxième oreille, malgré le fait que la demande ait été unanime, mais le Péruvien a fait le tour du ring conscient que le trône lui appartient.

Il est parti trouver le premier, un cinqueño profond, avec de la présure, plein, boutonné avec des bois qui ostensiblement ralentis dans le manteau de Château fuir Il a définitivement chanté son état en laissant une bousculade lorsqu’il a senti le fer dans les tiges, mais il lui a donné de la chaleur en parallèle Château au début, le ramasser et le porter dans les médias avec tauromachie et élégance. Il y eut une série entre les deux rayures, laissant la béquille au visage, prenant l’attaque très lentement, très cousue, avec une grande subtilité. Mais c’était un mirage. La fermeture à deux mains, accompagnant l’animal dans la fuite, avait la sienne. Il faisait frais et clair sur Béziers. Quartier fort, grand avec des aiguilles aussi, plein, musclé, plus large que le berceau. Il a échoué et vaincu avec génie sur la béquille. Château Il manquait toujours mais n’avait pas de matière pour que la tâche ait une histoire.

Un autre taureau grand et fort était le cinquième cinqueño. Très haut. Avec beaucoup de présure Il n’a rien annoncé de bon dans les premiers tercios car il ne s’est pas laissé combattre avec le manteau, il s’est détaché du cheval à la première tringle pour se reprocher et faire du bruit d’étriers dans le deuxième coup de poing. Plié sous exquise Juan Ortega au début des travaux. Il y avait plusieurs affiches taurines dans ce prologue. Mais le taureau avait déjà clairement exprimé son désir de ne pas charger. Avant, avec la seconde cassée, il n’y avait pas d’option non plus. Sans taureaux adaptés et sans prix tangibles, peu peuvent cependant se vanter d’être présents caucus comme ce Cordovan de Triana.

Onglet Célébration :

Fer de corrida de Cortés - Espagnearène de La Maestranza Royale de Cavalerie de Séville. 10 de la Foire d’Avril. Plein de ‘pas de billets’. taureaux de Rivière victorienne (1ère, 2ème et 6ème) et Taureaux de Cortésde type inégal, fort et sérieux pour la plupart, et d’une condition douce et affectueuse et difficile à gérer.

SÉBASTIEN CASTELLA, ovation et silence

JOHN ORTEGA, silence et silence après avertissement

ROI ROCK, oreille et oreille avec forte demande de la seconde

Rafael Viotti, Antonio Chacón et José Chacón se sont démarqués en banderilles, et José Chacón y Viruta lui-même avec la cape.