Quand un imbécile prend le dessus, la route se termine et l’imbécile continue. Il y a quelques années, le maire de Oviedo Un événement lui vint, valant la redondance, pour argumenter sa décision de réformer les arènes de cette ville, mais sans lui permettre de donner des taureaux. Fini le chemin, le fou continue. Et encore le maire qui insiste sur le fait que « les taureaux de gijón et l’opéra de Oviedo “. Hé. Et voilà.
Ce maire tient à faire taire une prévarication brutale de toute autorité, y compris de lui-même. Qu’une propriété avec catalogage du patrimoine culturel, comme cette place de Oviedo, Elle a été abandonnée jusqu’aux limites du mur de démolition, elle n’est possible que parce que les administrations liées par les lois ne les ont pas respectées. Ils sont responsables de la démolition de la place, dont le terrain va être utilisé pour gagner de l’argent. Mais personne ne va les poursuivre. Il n’y a pas un seul Oviedo qui le fasse et encore moins le FTL.
En revanche, la loi insiste sur le fait qu’un bien classé destiné à une activité doit continuer à abriter cette activité. Mais le maire passe tout par ses parties. Asturies, aussi fous sur le bord, da caciques. Loin d’être une dispute sur l’opéra et les taureaux, c’est un prétexte. Le fou ou le cacique en général croit qu’il peut transformer une excuse ou un événement en argument.
Comme affirmer, faire allusion au mandat de Cabinet Laurent, disant que l’argent a été perdu avec les taureaux. Voyons, nous allons ajouter un peu plus au fou: des taureaux égaux au patrimoine culturel des Espagnols, égaux à l’obligation de promotion et de diffusion. Comme l’opéra. Ou est-ce que l’opéra ne relève pas de l’argent public. Et dans tous les cas : gestion privée par concurrence légale Comme dans toutes les places publiques. Fin de la frontière