Hector Gutiérrez Oui rocher roi ravi le public mexicain exigeant de Guadalajara qui a été livré aux deux droitiers lors d’un après-midi mémorable. Le Mexicain a réussi à pardonner ‘Pontife’de Jaral de Peñas, dans un travail retentissant et a montré une dimension de valeur et de capacité avec le sixième. rocher roi Il a de nouveau rasé, car sa domination absolue, il est revenu pour donner une nouvelle tournure à sa tauromachie dans l’humeur et le temps, réduisant les attaques de ses adversaires au fur et à mesure. Moins chanceux Le Payo sur son terrain et ne pouvait pas dépasser le silence.

La tâche à la seconde de rocher roi il avait un plus grand ton pour le tempérament, le rythme et la profondeur. Main basse et temps réduit. Contrôle du terrain et des environs dans une performance de lien absolu et de communion avec le public. Impossible de lutter avec plus de rencontre, plus d’encastrement et plus de trempe. Une oreille a également marché le Péruvien du cinquième, auquel il a dû beaucoup mettre jusqu’à ce qu’il l’emporte sur la fadeur de l’homme cornu.

Le troisième est sorti Pontife, à laquelle Hector Gutiérrez une tâche retentissante s’est emparée, de la tauromachie avec le cap et plus tard enlevée par saltilleras. Il a su tempérer les attaques hydrowarm de son adversaire dans une tâche tempérée qui a mis le public d’accord. Les muletazos étaient liés avec subtilité, boussole et rythme, à la figure enchâssée. Le public a demandé un pardon, qui a finalement été accordé. Avec le sixième, un taureau plus complexe, puisque c’était difficile pour lui au moment de l’embroque, Gutiérrez a redonné une grande dimension et a marché une oreille.

Moins chanceux était Le Payo dans le tirage au sort de ses adversaires et ne pouvait laisser que des bribes de son concept personnel. Il a été réduit au silence alors que la miss avec l’acier réduisait ses chances de faire entrer une oreille dans la pièce.

Feuille de célébration :

arène de Nouveau Progrès, Guadalajara (Mexique). Deuxième manche de la saison. Entrée aux trois quarts. taureaux de Jaral de Peñas (5e bis), jeu bien présenté et varié. Le troisième s’est démarqué, nommé ‘Pontife’, nº 174, violet foncé, avec 495 kilos, qui a été gracié.

OCTAVIO GARCIA ‘EL PAYO’, silence et silence.

ROI ROCK, deux oreilles et oreille.

HECTOR GUTIERREZ, pardon et oreille

Photographies : Taureaux NTR – Manolo Briones