Le troisième était complexe dans son état, beau également dans sa finition, mais qui a dû être pris très durement dans la première série de l’embroque. Il avançait sur ses mains le long du piton droit, sans céder. Mieux à gauche, bien que perdant son zèle à mesure que Roi Rocher Il l’a caillé avec des béquilles basses et de longs mouvements. Il a attendu longtemps l’attaque, avec une demi-béquille dans le sable, pour la tirer avec courage et puissance. Capacité de tâche Rocher, qu’il a exposé sur le côté droit. Après une poussée, il bougea une oreille.

Le sixième était de beau type, étroit aux tempes, qui était prompt, mais poursuivait les tromperies sur ses mains, à mi-hauteur, sans se rendre complètement. Dans cette recherche constante du muletazo bas de gamme que je mène Roi Rocher la tâche, exposant du côté droit puisque le taureau était légèrement vaincu vers l’intérieur. Un coup sur ce piton à la fin de la tâche a permis de poursuivre ce qui avait été réalisé : course longue, main basse et puissance. Un jab et une faible poussée. L’opinion publique a fortement demandé cette oreille, mais le président a décidé de ne pas l’accorder.