Sérieux, long et légèrement assemblé. De bonne facture, avec un collier. Il a eu une noble attaque sur le manteau de Romain, tout en marquant son amour vers l'intérieur. Il a mis ses reins dans le tiers des tiges, tout en poussant avec l'embout gauche.
A commencé romain avec des béquilles avec le genou semi-fléchi haut. Le taureau avait une charge courageuse, avec transmission, exigeante. Deux séries sur les rencontres à distance avec des droitiers mettent le public sur pied. Délire sur les lignes. Peu importe que le muletazo devienne accro, car il y a de l'émotion. Chaque coup de muleta est un rugissement, tandis que le brave taureau veut manger la muleta. Une machine à pilonner. La tâche était énorme, méritoire car le taureau avait toujours tendance à lancer un taureau. Surtout pour le piton gauche. Une superbe fusillade du droitier a incité le public à demander pardon. Le taureau n'a pas arrêté de charger. Le président a sorti le mouchoir orange. Cris de torero, torero ! Deux oreilles symboliques.