jeà la dernière corrida de la foire Moralzarzal Ce fut une fête pleine de contrastes. Rubén Nunez et Víctor Barroso Ils coupèrent chacun une oreille à deux taureaux. Ange Luis Pena complexes et ceux qu’il fallait comprendre, mais avec qui ils savaient s’entendre et sortir d’une bonne tauromachie. Pepe Luis Cirugeda Il aurait pu remporter un trophée le troisième de l’après-midi, sans l’erreur avec l’épée. L’après-midi n’a pas été sans moments de tension. Le cinq après-midi, le picador Raúl López, de la bande Barroso, Il a été rendu laid par l’homme cornu après avoir renversé le cheval. Il a été transporté à l’hôpital pour évaluer d’éventuelles blessures.

Rubén Nunez Il a coupé l’oreille du quatre de l’après-midi, un taureau courageux qu’il fallait comprendre. Rubén Nunez Il a très bien fait les choses, sortant des passes très classes. Il a laissé une bonne poussée. Il a bougé une oreille avec une forte demande pour la seconde, non accordée par le président. Ovation au taureau dans la traînée. Le grave eut d’abord de la présure et une attaque compliquée, contre laquelle Rubén Nunez Il a extrait des muletazos en vrac, mais sans le caractère décisif d’une série compacte en raison de cette condition. Ovation.

Il a marché une oreille dès la seconde de l’après-midi Victor Barroso, après une tâche taurine avec la main basse, laissant des passes pleines d’humeur et de fermeté devant un noble taureau de Ángel Luis Peña. Il a laissé une bonne poussée. Il n’avait aucune option Víctor Barroso avec le cinquième taureau de l’après-midi. Un pilotage complexe qui a rendu la tâche difficile dans tous les tiers. Silence.

Pepe Luis Cirugeda Il s’en est très bien sorti avec le troisième bœuf de l’après-midi, qui s’est effondré dans la muleta. Il a laissé de bons moments et une tâche très ferme, qui a été gâchée avec l’épée après une perforation et un demi-coup. Palmes pour le torero. Il n’avait aucune option Pepe Luis Cirugeda avec le sixième de l’après-midi, un bœuf qui se défendait à tout moment.

Feuille de célébration :

arène Moralzarzal, Madrid. Quatrième et dernier de la Foire. Demi-carré. Des bouvillons de Ángel Luis Peña Sánchez, jeu inégal et peu d’options.

RUBEN NÚÑEZ, ovation et oreille

VICTOR BARROSO, oreille et silence

PEPE LUIS CIRUGEDA, paumes et silence