Sje qu’est-ce que le sixième taureau de la corrida Miura s’appelle pilonnage, nous devrons chercher un autre terme et être accepté par le RAE pour définir ce qu’ils ont fait à la foire un taureau de jandilla et ils en font bien d’autres tout au long de la saison. Si nous suivons le ‘modèle’ du dictionnaire, le sixième de Miura percuté. Parce qu’il a attaqué avec élan ou violence. Mais si l’on applique plus d’un siècle de travail sélectif sur le terrain, le RAE est loin derrière les grands éleveurs, type Justo Hernández, Alvaro Cuvillo ou propre Borja Domecq. Sans ignorer d’autres de grandes encastes telles que Victorino Martin ou la famille Conrad, par exemple. Bien qu’il y en ait beaucoup d’autres.

Il n’y a pas de tauromachie au sens bovin et taurin du terme, s’il n’y a pas quelque chose d’essentiel dans la tauromachie évoluée du XXIe siècle : l’embroque. Tout mouvement de n’importe quel taureau qui n’offre pas la possibilité de embroque, ce n’est pas écrasant. C’est pour bouger. Ce que le sixième taureau a fait Miura. Déplacez-vous docilement dans le sens de la fixation sur la béquille. Oui, mais sans embroque. Et sans embroque, la tauromachie n’existe pas. Toute attaque et mobilité qui ne peut pas être dirigée (combat) n’a rien à voir avec le travail, le concret, l’idée de la tauromachie et de ce que c’est que de se battre.

‘Tout mouvement d’un taureau qui n’offre pas la possibilité de embroque, ce n’est pas écrasant. C’est pour bouger. Ce que le sixième taureau a fait Miura. Déplacez-vous docilement dans le sens de la fixation sur la béquille. Oui, mais sans embroque’

embroque. Ce point de rencontre entre la tromperie et la face du taureau où tout se décide. embroque à n’importe quelle hauteur, à n’importe quelle vitesse et avec la race, la force, la condition ou la bravoure du taureau. Quelle est une autre chanson. Un taureau qui passe parce qu’il arrive n’est pas un taureau qui charge. Il bouge et passe. Qu’est-ce qui est différent Et ce n’est pas dépensé. Car le commandement qui ne peut naître que du embroque, est celui qui dépense le vrai taureau. L’autre est une usure physique d’aller et venir. La commande du embroques’il est au-delà de la trempe et atteint encore plus la réduction, c’est celui qui mesure vraiment la profondeur et la la bravoure du taureau.

Il est choquant que nous appelions assaut ce que font les taureaux que nous avons tous à l’esprit et nous appelons assaut ce que le sixième de Miura qui a fermé la foire de Pampelune. Et plus que choquant, c’est une illusion de cette ampleur qui méprise et ignore le taureau que nous avons tous en tête. Celui travaillé à partir de l’esprit de l’éleveur a cherché un taureau où la fixité (regard insistant sur la déception) n’est plus qu’une évidence. Peu de taureaux aujourd’hui ne l’ont pas. Puis la soi-disant obéissance, c’est-à-dire venir à la tromperie. C’est une autre platitude sélective, très primitive.

Car il y a alors le embroque. Plus ou moins humilié. Plus de l’intérieur python ou moins, avec plus de possibilité de réduction ou moins et, attention, avec souplesse. Pas d’agilité. L’agilité du cou n’est pas la flexibilité morphologique. Le seul qui permette la tauromachie en rond, monté et à vitesse réduite. Tout ce que certains des meilleurs éleveurs d’aujourd’hui ont réalisé, des génies. Assimiler un taureau en verbe ou en verbiage léger à un autre est un mépris pour ce travail formidable qui a placé la tauromachie dans un lieu où Morante a pu surmonter Arrogant. Et les Osciller et juillet et talavante et de plus, ils ont su laisser à la tauromachie un fil d’évolution qui n’a pas besoin de tauromachie sur les pattes. Cette tauromachie d’avant l’existence de l’embroque et la sélection du taureau. Cette tauromachie qui pourrait s’appliquer au sixième taureau mais que plus personne n’autorise les toreros car bien sûr, ça charge. Et comme ça charge, ben rien. Se battre sans pouvoir se battre, mais on appelle ça la tauromachie.