4º MALAGUEÑO, Nº 93, bragado meano violet foncé, né le 19/03, 548 kilos, de l'élevage d'Adolfo Martín, pour Antonio Ferrera

Bien présenté, dos long et droit, laisse apparaître les pales. Il n'est pas utilisé dans les premiers tiers. Il se laisse frapper sur le cheval. Grands tiers de banderilles d'Ángel Otero entre la pluie et un vent formidable.

Béquille : Démarrer Antonio Ferrera à droite, tempérant l'attaque et le vent. Plusieurs coups de béquilles qui atteignent le public.

3ème HAT, n° 34, bleu clair, né le 19/02, pesant 526 kilos, de l'élevage d'Adolfo Martín, pour José Garrido

Très sérieux de face, de profil, montre ses lames, courbées comme des pitons, de forme courte, aux mains courtes. Humilier et presser vers l'intérieur dès la réception de José Garrido, qui doit sortir avec des capuches de l'intérieur. Mansea lors de la première rencontre, à la recherche des quatre arrières du plastron. Il se laisse frapper dès le deuxième match. Il se raccourcit dans le tiers des banderilles, ce qui rend difficile la conquête du visage. Paires de drapeaux engagées Javier Valdeoro.

Muleta : Le taureau a une charge très courte, qui ne dit rien. Impossible de flirter et de s'exhiber. Cela passe par les mains. Cela ne dépasse pas la hanche du droitier. Après l'avoir passé dans les deux pitons. Il va chercher l'épée. Poussée. Silence.

2º BARATILLO, n° 28, violet foncé, né le 19/01, pesant 547 kilos, de l'élevage d'Adolfo Martín, pour Manuel Escribano

Manuel Escribano se dirige vers la porte de la porcherie pour recevoir le second. Il sort endormi et reste en dessous. Très fort Manuel Escribano qui se lève avec des pouvoirs après avoir purgé la transe. Le taureau n'a pas d'embroque, à mi-hauteur, dans la recette de Verónicas del Sevillano. Il ne s'utilise pas sur le cheval, rendant l'étrier sonore et sans humiliation. Il ne tombe pas parce qu'il n'est pas utilisé. Bon tiers de banderilles Manuel Escribano, gagnant le visage avec domination. Tous les drapeaux rassemblés.

Muleta : Le taureau n'est pas utilisé, car il a à peine un embroco et un itinéraire. Cela passe entre les mains, sans humilier. Lorsqu’il essaie de baisser la main, cela n’arrive pas. Il faut que ce soit un à la fois, même si se montrer n'est pas possible. Essaie Manuel Escribano pour les deux pitons. Le Sévillan entre très droit. Poussée. Mettez le de Adolfo Martin les pythons sur la poitrine Notaire.

1er SINNER, n° 73, bragado brun clair, né le 19/01, pesant 568 kilos, du haras d'Adolfo Martín pour Antonio Ferrera

Court, avec des mains courtes, avec un cou. Branches larges, montrant les lames. Il humilie bien qu’il ait tendance à se replier sur lui-même. Il se laisse percuter dès la première rencontre. Il n'a pas beaucoup de force et de puissance. Mansea lors du deuxième match. Il ne s'arrête pas et ne se met pas au galop. Tous très endormis. Attendez beaucoup en banderilles.

Béquille : Elle se porte sur les mains, sans déplacement. Perdez vos mains. Il reste sous le torero. Après l'avoir passé dans les deux broches, il se plie ferrera avec lui. L’épée tombe bas.

Feuille de célébration :

Hierro de Adolfo Martín - Espagne

arène Les ventes. 24ème corrida de la Foire de San Isidro. Presque plein. taureaux de Adolfo Martin,

ANTONIO FERRERA, silence.

MANUEL SCRIBAN, ovation.

José Garrido, silence.