Troisième: ‘Pocaprisas’, nº 21, oeil de perdrix rouge, pesant 540 kilos, né le 18/11, du ranch Alcurrucén, combattu par Tomás Rufo

Coupe très basse, avec un décolleté. Ouvrez votre visage. Il charge d’en bas dans le bon reçu à la véronique de Thomas Roufogagne toujours du terrain. Il pousse le premier coup de poing, le visage vers le bas, bien qu’il sorte du match lâche. Le taureau sort apprivoisé dans le deuxième match dès qu’il sent le fer. Le taureau continue de maintenir une charge très humiliée dans les capes, avec le python à l’intérieur et beaucoup de transmission. superbe paire de Ferdinand Sanchez. Donner la tâche au public des médias.

Béquille : commencer Thomas Roufo du milieu sur la main droite, sans essais, donnant beaucoup de distance. Le taureau charge avec beaucoup de bravoure et d’importance, voulant manger la béquille avec le python à l’intérieur. Le torero de Tolède le prend et le taureau lui répond. Il cite à nouveau la main droite, mais le vent l’empêche de flirter. Il est changé pour les motifs de cinq. Deux béquilles main droite avec un centre main très bas une série importante avec un taureau très exigeant, qui vend ses charges au prix fort. Il faut beaucoup le porter. Il tombe à court dans le suivant, l’obligeant à perdre pied et à se remettre en place, cassant ainsi le rythme de la série. Lorsqu’il perd cette inertie, sa charge devient plus irrégulière et le vent réapparaît. Le taureau poursuit sa demande, sans se rendre. essayer de rythmer Thomas Roufo à la fin des travaux. Un avertissement retentit. Piquer sans relâcher. Fente arrière et chute. Le taureau a été acclamé dans la drague.

Deuxième: ‘Castañuelo’, nº 81, ruban sablé noir, pesant 544 kilos, né le 17/10, du ranch Alcurrucén, combattu par Julián López ‘El Juli’

Taureau de très bonnes œuvres, bas, à encolure, ferme le visage. Coiffe du python gauche. très en ligne Coin. Humilie sous le manteau de Julián Lopez ‘El Juli’, bien qu’il soit très court, ce qui le rend impossible à montrer. Le Madrilène s’en sort avec des cagoules de l’intérieur. Il est permis de frapper le cheval, mais sans l’utiliser de manière excessive. Il garde le taureau à l’intérieur. Retirer Thomas Roufo par des tabliers, surmontés d’un joli bas. Le taureau commence à gazapear, bien qu’il ne fasse pas mal pour le bon python. Il attend beaucoup les banderilleros, face contre terre, pressé vers l’intérieur.

Béquille : commencer Julian Lopez « El Juli » la tâche l’amenant bientôt aux médias. Une première série à main droite, avec un quart de la béquille cachée derrière le corps, avec le personnage debout, portant beaucoup le taureau. Le second, par le même python, gagne en profondeur et en ligne, avec un compas ouvert, portant l’attaque très fortement. Taureau sans inertie, qui doit être transporté sur une courte distance, tirant beaucoup de la charge. A gauche, le taureau a moins de continuité. Remontez à la main droite et obtenez une belle série, très ronde. Main basse, long trait. Béquilles très tempérées, tirant toujours l’attaque qui manque de cette foulée de plus que le casting Nunez. Il pénètre dans les environs Le Juli, avec les pitons atteignant la même bande que la sacoche, mais de broder les béquilles sous la lame du piton en une ligne courbe. Fermeté et maîtrise de Le Juli. Crevaison tombée. Très passé sous le taureau, il est impossible d’y retourner pour tuer et le madrilène s’en fout. Un coup de bourreau. Ovation.

Premier: ‘Rompeolas’, nº 56, oeil de perdrix rouge, pesant 550 kilos, né le 11/18, du ranch Alcurrucén, combattu par Morante de la Puebla

La première ouvre le visage, de corps cylindrique, surmonté. Il n’a pas beaucoup de cou. Bastito de sorts Il sort froid, mesurant et enfonçant à mi-hauteur le manteau de Morant de la Puebla. Il se laisse frapper sans humilier au premier coup de poing aurelio cruz, qui tombe en arrière. Il heurte le taureau droit dans le cap de Habitant de Puebla. Il entre dans le cheval et en ressort docilement dès qu’il aperçoit le fer de la puya. Cela le fait entrer dans une troisième tige, dans laquelle le picador gagne du terrain et couvre la sortie, afin qu’il ne se détache pas. Il n’a pas de fixité pendant le tiers de banderilles, ignorant, à l’occasion, les citations des banderilleros.

Béquille : Le taureau n’a pas de place pour démarrer, sans passer, à mi-hauteur, en regardant la pose au bout des béquilles. Il ne lui permet pas de donner une béquille. Il sort avec l’épée à tuer et raccourcit avant les options nulles. Crevaison profonde à la deuxième tentative.

Onglet Célébration :

arène de Ventes (Madrid). Huitième célébration de la Foire de San Isidro. Plein de ‘Pas de billets’. taureaux de se recroqueviller,

MORANTE DE PUEBLAsilence.

JULIÁN LOPEZ ‘LE JULI’ovations.

TOMAS RUFOsilence après avertissement.