La pire des tromperies est l’auto-tromperie. Faire pièges au solitaire Quelqu’un est venu une fois avec cette chose à propos de « castings minoritaires » et celui de quoi Madrid Je devrais les récupérer. Donnez-leur de la visibilité. L’euphémisme/piège de « casting minoritaire » a un chemin si court que, en frappant le réalité, ne fait que réaffirmer qu’ils sont minoritaires. Et la réalité avec laquelle ils se heurtent a deux preuves évidentes. Rejoignez le poids, la taille et le volume requis pour le taureau d’aujourd’hui et plus encore à Madrid. Un autre, que ces inserts appelaient minorité, ils sont pour une raison quelconque dérivés de ne pas s’adapter à la tauromachie exigeante de cette époque. Les troupeaux Pallarés, Los Maños et Cuadri, associés à ce dimanche de Las Ventas, illustrent cette dure réalité.

« Ce n’est pas que personne ne veut qu’il ne traite pas, mais que vouloir qu’il traite, normativement (et autre chose), c’est impossible. »

La réalité est qu’un élevage de bétail qui essaie de récupérer la tige de qualité et de bravoure de celle de Santacoloma associée à Saltillo, Les mainsIl lui est presque impossible de faire face à une corrida complète à Madrid. A moins que l’éleveur ne recherche expressément la taille pour Madrid, avec tout ce que cela implique en termes de typologie et d’identité, il lui sera très difficile de gérer une corrida complète. Ce n’est donc pas que personne ne veuille qu’il ne traite pas, mais plutôt que vouloir qu’il traite, c’est normativement impossible. normativement et quelque chose de plus. Parce que ceux qui exigent ce taureau sont les plus grands alliés de cette réglementation qui les exclut. Ongle contradiction fruit de la tricherie en jouant au solitaire.

Les taureaux de Pallarès ils sauvèrent les fidèles de la reconnaissance, pour être poursuivis deux sur le ring pour leur présence. Mauvaise affaire, aggravée parce que le bravoure classe de la première n’était pas prise en compte et n’était que matière à la norme de la coups, de ce spectacle pour le dire longtemps, des mille coups de la cagoule, de la puya et du cheval géant et blessant. Tout contre le taureau en même temps qu’il se dit et s’affirme que ça va en faveur du taureau. Tout le contraire des taureaux de quadri.

« Il y a une minorité du public qui accepte le tiers des tiges comme suffisant pour leurs fans et leur satisfaction »

Trois taureaux d’une grande bravoure dans le premier tiers, venus de loin et bientôt au cheval sans jamais refuser ni partir au tâton du fer. Mais, à partir de là, taureaux sans laissez-passer. Et ici, nous trichons à nouveau au solitaire. Il y a une minorité de public qui accepte ce tiers comme suffisant pour leurs fans et leur satisfaction. Mais pas la grande majorité. Seuls les efforts répétés de Adrien de Torres, calme et ferme avec une tauromachie pour le taureau avec une bonne attaque contre le taureau en danger évident. Une tentative de vingt passages d’exposition avec ses trente notices sanglantes. Une façon de combattre de 2023 comparée à une condition du taureau d’il y a 100 ans.

Les trois taureaux Cuadri prennent tout leur sens si devant leur condition anachronique dans la béquille, la tauromachie est admise à sa juste mesure. Non pas la tauromachie scolaire actuelle de distance, de lieu, de hauteur, de toucher… mais la tauromachie sur les jambes et sur les bras, celle d’enlever et d’enfiler galamment, celle de machette, celui qui les promène… la tauromachie que plus personne n’admet. UN tauromachie abandonné des écoles, discontinué de l’ADN des fans et du public. Ce n’est pas une question puérile qui, ajoutée aux euphémismes et contradictions précédents, fait que les propositions de certains types de spectacles à Las Ventas et ailleurs manquent de la grandeur, de l’intérêt et de la juste mesure qu’elles méritent. Si ces questions ne sont pas modifiées, nous continuerons à appeler les castes minoritaires ce qui attaque et bien, Los Maños, et le taureau sans condition esthétique sur la béquille. Nous les égalisons sans être égaux. Et si l’un ne passe pas la reconnaissance et que l’autre n’est pas bon pour la tauromachie, ce n’est pas qu’il s’agisse de castes minoritaires. C’est qu’ils ne sont rien.