Par Guillermo Leal

Le premier grand triomphe de la foire a été réalisé par la fiesta brava avec la plénitude impressionnante qui a enregistré la place La lumière devant le succès d’une affiche variée et attractive. En réponse à cela, Léo Valadez Oui Andrés Roca Rey ils ont coupé deux et une oreille respectivement. et bien que José Mauricio n’a pas obtenu d’appendices a eu une performance exceptionnelle. Total, c’est qu’il n’y avait pas moyen que le public ne s’excite pas.

Léo Valadez Il s’est transformé en un jeune homme avide de triomphe, d’une grande spontanéité, d’une certaine variété et surtout d’un personnalité ils sculptent une figure très attrayante. Avec son premier, un taureau courageux et émotif de commencerValadez, de la salutation capotero, a déclaré ‘je suis ici’, combinant plusieurs ensembles, ce qui n’arrive plus que rarement. Puis avec la béquille il réalisa des moments de bonne tauromachie, longs et Profondorné de décorations qui ont beaucoup ému le public car les pythons passaient toujours près du corps.

Il y avait une arrucine refroidissement On ne sait pas encore où le taureau est passé. Bref, une tâche pleine d’émotion qui, bien signée du sabre, lui a valu le deux premières oreilles de la foire Déjà avec son deuxième, bien qu’il y ait eu aussi des moments importants, la tâche n’a pas fini par se concrétiser.

la jeune figure Andrés Roca Rey il a fait un vrai effort d’honnêteté et de détermination avec son premier, un cor rugueux qui l’a mis en difficulté à plusieurs reprises. Cependant, le Péruvien n’a pas bougé ses chaussures de l’arène, cherchant toujours à terminer une tâche qui a mis du temps à se conclure car le taureau, dont l’âge était perceptible dans le physique et le comportement, malgré toute la fente, n’a pas doublé rapidement.

Son deuxième, un très beau taureau mais franchement à la limite du sale, a été renvoyé dans les corrals car le public s’est mis en colère. Avec le remplaçant, Andrés s’est vautré et c’est alors qu’il a commencé à le dominer et a sorti son passé de noblesse avec un travail varié de béquilles tempérées et variées. Un métier qui a finalement fait sourire le Péruvien déjà réclamé pour ce qu’il est : une figure de la tauromachie. Il a coupé une oreille de ce taureau, ce qui a été demandé et bien accordé.

José Mauricio Dans son premier, il a profité de la classe et de la noblesse du taureau pour accomplir une tâche qui, parce que c’était avec la corne qui ouvrait la fête, n’avait pas beaucoup d’écho dans les gradins, car il méritait une coupe bien coupée. oreille, bien qu’il ait aussi dû voir quel poids Parce que la fente était complète, le taureau a mis du temps à doubler.

La qualité dans la tauromachie de la capitale reste propre et pure point et mis à part son second, un état réservataire, qui se révoltait dans une étendue de terre, forcée Maurice pour montrer une facette qu’il a aussi, celle du dévouement et du courage qui, s’il n’avait pas échoué à l’épée, lui aurait valu un autre ajout bien mérité.

Onglet Célébration :

arène de La lumière de Léon (Guanajato, Mexique). Plein sur un après-midi agréable en termes de température mais gênant à cause des rafales de vent. taureaux de commencer, le cinquième bis en raison d’un petit méfait du propriétaire. Bravo pour le cheval. Le troisième était le meilleur, avec émotion, méritant un retour sur le ring. Le premier avait de la classe et beaucoup de rythme. Le cinquième bis avait beaucoup de noblesse. Deuxième et quatrième rugueux.

José MAURICE, ovation avec salutations et palmes

ROI ROCK, avis et oreilles partagés

LÉO VALADEZ, deux oreilles et paumes