PParfois, ils ont deux oreilles comme un effet balsamique. Ils étaient si réparateurs, qu’ils ont même dessiné Talavant un sourire que son visage désirait déjà. Il y avait beaucoup de pression et beaucoup de tension cachée, que le visage du torero trahissait à chaque marche. Bonnes vues Il servait à desserrer les liens et à se débarrasser des corsets. Sa main gauche était à nouveau en caoutchouc. Et du génie. Et même l’épée a voyagé avec précision. A quoi sert la tauromachie…
Bien sûr, il ne serait pas juste d’ignorer que l’homme d’Estrémadure avait une super classe de Dimanche Hernandez pour mener à bien sa tâche la plus retentissante en cette saison de son retour. Il avait plus qu’assez de qualité et il manquait de verve dans la course des taureaux pour que ses attaques atteignent plus la ligne. le mois de juillet, qui a tout fait en faveur de son sort, était à un rien de trophées ambulants. En fait, il y avait une demande sans réponse dans la salle, alors que rouxl’après-midi de ses débuts dans Bonnes vues capturé muletazos lâches de dessin extraordinaire, bien que son temps dans ce Aste Nagusia On s’en souviendra surtout pour une chose : Quatre verónicas et demie qui ont enseigné au public, et le torero lui-même ? la qualité du taureau Talavant.
Ramassé, grossier, au corps mesuré et au cou étroit, le marronnier coquille tombé court sur le cap Talavant, sans s’élancer vers l’avant. Le taureau a été autorisé à frapper les deux tiges, bien géré par Miguel Angel Muñoz et dans ceux-ci sont apparus roux, qui a donné des mètres au taureau et l’a bercé, à l’extérieur, dans une ambiance très chaude par des véroniques. Quatre séries et demie de grande cadence dans lesquelles l’animal a glissé comme il ne l’avait jamais fait auparavant.
grillé Talavant au public, il commença bas, la jambe fléchie, essayant de rendre l’animal jaloux, et se mit à se battre de la main droite. Les deux premières séries ont eu du lien, de l’intensité aussi, mais peut-être qu’il y a eu un décalage entre une passe et une autre, et que le taureau n’a pas fini de quitter les envolées. Cependant, lorsque la béquille pour gaucher était lancée, la tâche augmentait car à la fluidité que le travail avait déjà, le torero ajoutait de l’expression et du rythme. Celui que les indigènes avaient avec une silhouette droite et une ligne lisse, pas du tout forcée, avec ce mouvement subtil du poignet qui lui fait rencontrer l’animal autour de son anatomie et le tirer sans l’abandonner pour, en tournant d’un quart de tour, attacher le suivant muletazo.
Bien mieux le taureau pour ce python, qui a attaqué avec courage et longueur. Très chaud et également froncé la dernière série avec le droit, très ajusté. Le travail, qui avait déjà un niveau élevé, était supérieur après la fente. Un volapié de droit, attaquant avec sécurité et conviction. Les deux oreilles sont tombées. Le cinquième fort, long, avec du corps. Enseigner les astuces. Il a manqué d’éclat dans le dernier tiers, malgré sa noblesse et sa docilité. Talavant il le béquilla d’un pouls mais sa tâche dit peu car l’attaque de l’homme cornu n’atteignit pas la ponte. Le mieux, une autre bonne fente qui semble confirmer qu’il récupère le site avec l’acier.
Long, plein et bas, en avant et agressif, l’alezan a d’abord attaqué avec un bon son le cap de le mois de juillet, qui a commencé à travailler sur ses genoux, essayant de mettre le taureau en chaleur et de le magnétiser sur sa béquille. Il l’a pris propre, très cousu sur sa main droite, le poussant vers l’avant, sans une seule traction, mais le taureau noble, mais avec une course très courte, à peine transmise. La chambre est très noble, classée, avec le défaut de peu de troupeau. Le torero lui passa très lentement par la béquille à travers les deux pitons, avec un pouls extraordinaire aussi, il fit même résonner la musique. Une fente basse soustrait des mouchoirs à la demande, ce qui ne suffisait pas. Ils l’ont emmené lui dire bonjour.
Le troisième était long et avec un cou étroit aux tempes, avec une petite coiffe au-dessus des pythons. C’était celui qui était le plus et le mieux utilisé dans la cuirasse, une troisième où la corrida apprivoisait ou permettait de frapper. Début sensationnel de roux, emmenant le taureau au troisième avec une douceur extraordinaire. Mais quand il voulait combattre le taureau, il lui était difficile de répéter. Dommage, car le torero l’a frappé avec des muletazos sensationnels. Sans possibilité de les enchaîner du fait du manque de répétition du taureau mais avec un vrai poids dû au placement, au fil à plomb et à la profondeur qu’il imprimait à chaque passage. Puis le sixième burraco, très ‘juampedro’, s’est immédiatement affligé et malgré les fois qu’il a donné l’animal, cela n’a pas eu de continuité.