TROISIÈME TAUREAU
Le troisième plus détaché du sol, masqué et un peu noyé dans le cou, qui n’a jamais voulu attaquer, apprivoisant toujours et sortant dans l’autre sens. Même au pays des tables il ne voulait pas de béquilles. Impossible de briller Uceda Leal. Silence.
DEUXIÈME TAUREAU
Aussi de bonne facture le second, qui a chargé avec un bon son dans le manteau de Ferdinand Robleno. Il n’avait pas assez de force et un cerf-volant complet l’a fait retourner aux corrals.
De type fin le second bis, au fer de Pereda, légèrement monté, montrant les lames, avec beaucoup de sérieux, bien qu’étroites aux tempes. les banderilleros José Chacon et Fernando Sánchez accueilli une ovation après avoir apparié le second, dans lequel le combat de César del Puerto. Le cor avait un comportement complexe, car par le python droit il était toujours très vaincu et par le gauche, le premier était bon, mais il lui était très difficile de se répéter. basé Fernando Robleno son travail dans le placement et dans les béquilles une à une, avalant beaucoup dans les embroques. Après deux crevaisons, il a laissé une fente qui a mis fin à son travail, mais pas avant d’avoir entendu un avertissement.
PREMIER TAUREAU
De bonne facture, court et avec une encolure, il fut le premier, qui fit dans les premières mesures ce qui est caractéristique de cette caste : mansear en passant sans se servir des manteaux, quoique toujours avec une tendance à humilier. l’a réparé Uceda Leal avec la béquille, pour tracer plus tard plusieurs séries d’énormes corridas, avec la figure dressée, baissant la main. Le taureau a répondu par le bas, chargeant avec le python à l’intérieur. La tauromachie classique, en béquilles avec une ligne courbe, reprenant beaucoup l’attaque, derrière la hanche. Énorme arrière-goût. Il a crevé deux fois avant de quitter une fente et a échangé un jackpot contre une ovation debout.