Les dernières enquêtes sur les préoccupations sociales en Asturies Ils concluent que le chômage, le dépeuplement rural progressif jusqu’à des limites qui dépassent toutes les prévisions et l’économie familiale sont les problèmes qui inquiètent le plus les Asturiens. Parmi les taureaux, il n’y a même pas de réponse résiduelle, comme c’est logique. Il est insensé d’être élu ou élu par ces mêmes personnes avec leurs préoccupations et de placer la question de la tauromachie comme pierre angulaire dans un discours d’investiture du président de la Principauté, qui ne concerne aucun Asturien. Adrien Barbon (PSOE) est un imbécile couché sur le dos.

Muet n’est pas une insulte. C’est une description de l’utilisation de l’intelligence appliquée à la thermique en col à la Académie royale de la langue (Pour la lettre T). Une communauté, les Asturies, qui fut la première à Espagne à recenser plus d’animaux de compagnie que d’enfants entre zéro et 15 ans, avec une croissance végétative négative croissante depuis 38 ans, il a un président tellement con qu’il passe plus de temps à parler de taureaux, dans une préoccupation vitale incandescente (comme ses bêtises), que de dire aux Asturiens comment résoudre un problème déjà endémique qui élimine la population tout en vidant leurs villes, détruisant leurs cultures.

Une croissance végétative négative a signifié qu’en Asturies le rapport entre actifs et retraités est de 1,1, un ratio qui casse Sécurité sociale. Mais le problème, ce sont les taureaux.

Dans Asturies, le principal problème est celui-ci. Le manque de naissances brise la transmission générationnelle sur le marché du travail, brise la chaîne parents/enfants dans les entreprises familiales, laisse les exploitations agricoles vides et diminue la qualité de l’État-providence et des services publics pour cette raison : une croissance végétative négative a fait que dans les Asturies le rapport entre actifs et retraités est de 1,1, un rapport qui casse Sécurité sociale. Mais le problème, ce sont les taureaux.

Avec ces données, s’investir en disant que les taureaux sont de la maltraitance animale est un abus d’intelligence, une démagogie idiote. Et en appliquant l’axiome de Forest Gump, un imbécile est celui qui dit/fait des bêtises, ergo le Seigneur Barbon C’est un imbécile au top. Ce n’est pas à cause de son visage, qui est douteux, c’est à cause du visage qu’il a de faire du populisme en carton dans une région de Espagne où les problèmes ont une solution difficile car ils sont alarmants dans le temps. Et le temps dira quelle qualité d’intellect le fou doit aller au-delà d’affirmer avec pompe et apparat de mort, que les taureaux sont de la maltraitance animale. Vous pouvez même le dire solennellement, ce qui sera un non-sens solennel.

Cette solennité d’exprimer des principes inexistants pousse la classification d’imbécile un peu plus loin, mais alors nous devrions recourir à des insultes. Le fou est pieux. Et le fou, dans une autre démonstration d’instinct captivé par sa propre folie (les fous insistent pour l’être avec l’insistance d’une mouche sur un verre) écrit dans Twitter que les taureaux ne souffrent pas revient à dire que la terre est plate. Et ne le prenez pas pour un imbécile. Premièrement, vous n’êtes pas pris pour un imbécile. Ça l’est. Et deux, Ératosthène de Cyrène, celui qui a démontré bien des siècles avant Côlon que la terre n’était pas plate, il était philosophe. Le fou ne sait pas, mais nous le lui rappelons.

Comment le fou saura que la nouvelle loi d’enseignement de Espagne (une loi à part entière) a expulsé la philosophie de la salle de classe. C’est-à-dire qu’il a expulsé celui qui disait que la terre n’était pas plate. Et la terre ou quoi que ce soit, sans le sage et sa sagesse, peut être plate ou avoir la forme d’un diamant ou être trapézoïdale, quoi qu’en disent les réseaux sociaux dans lesquels ceux de Barbon Ils investissent des dizaines de millions par an. Ils ont retiré de la salle de classe ce qui interroge et déshabille les imbéciles, la philosophie, l’histoire, la littérature, les arts comme la tauromachie.

Tu ne pourrais pas être plus amer et caïnment stupide, Baron.