Par Guillermo Leal

Hier soir à Monumental d'Aguascalientes Les sentiments les plus nobles de la tauromachie et du public vibraient. C'était une de ces célébrations inoubliables au cours desquelles Antonio Ferrera épelé tauromachie avec une corrida déjà disputée sous le nom de L'hypothèse, bétail appartenant au personnage mexicain Joselito Adamé qui a débuté en profitant du triomphe du maître espagnol qui lui a justement coupé les oreilles et la queue.

Son travail était intelligent, passionnant et plein de tendresse. La faiblesse que montrait la corrida était protégée par Ferrera dans des rondes courtes, peu exigeantes, mais très taurines, parfaites pour maintenir la corrida sur ses quatre pattes et la figure du maître sur un piédestal géant qu'il construisait de temps en temps. au Mexique, un pays qui compte déjà de nombreux « ferreristas ».

L'attitude de Paola San Román, cette jeune femme qui ne pouvait pas faire grand-chose avec elle au début, et qui a ensuite donné un taureau qui s'est avéré extraordinaire Santa Fe del Campo et avec lequel la jeune fille a accompli une tâche qui a laissé tout le monde sans voix en raison du naturel et de la sensation de sa corrida devant un taureau cornu. Santa Fe del Campo ce qui était doux. Bravo, émotif, noble et classe, dès le début il a permis Paola exécuter des lancers et des muletazos avec une intuition et une délicatesse féminines, mais enveloppées de la détermination d'un torero. Une tâche vraiment étonnante. Saint Romain, Il savait que c'était une grâce, et peut-être que se tourner constamment vers le box du juge refroidissait le moment.
La vie de « Perlito », le numéro 18 de 460 kilogrammes, a été épargnée à juste titre. Le brouhaha de la tâche s'est calmé, mais pas la victoire.

Avant ces deux grandes tâches, le rejoneador Jorge Hernández, Avec la solvabilité et l'expérience que lui confèrent 20 ans de bonne tauromachie à cheval, il a profité de la mobilité du taureau taurin. Sainte Agnès se couper une oreille, interrogé par certains.

Ensuite, des moments de corrida longues et détendues Arturo Saldivar avec un noble et courageux de Santa Fe del Campo, dont la tâche n'a pas été applaudie.

L'attitude de Léo Valadez avec une corne compliquée Frères Arellano qui cherchait toujours le corps de l'hydrocalide, qu'il avait roulé dans des drapeaux, mais qui était toujours ferme. Il a cliqué et a entendu des applaudissements.

Le torero à succès en Espagne, Bruno Aloi Il lui a donné de l'attitude, il a risqué sa vie et a fini par dominer les violentes attaques de son spécimen de Champ Royal celui qui lui a coupé les deux oreilles, après avoir subi un très fort saut périlleux.

Vibrants étaient les tiers des banderilles qui partageaient Ferrera, Saldívar et Valadez, plein d'émotion, de variété et de corrida à mains nues.

Feuille de célébration :

Fer de Santa Inés - MexiqueFer de Santa Fe del Campo - MexiqueFer de Santa Fe del Campo - MexiqueFer San Isidro - MexiqueFer San Isidro - MexiqueFer Arellano Hermanos - MexiqueFer Arellano Hermanos - MexiqueFer Campo Real - MexiqueFer Campo Real - Mexiquearène Monumental d'Aguascalientes, Mexique. Festival au profit d'ATMA et hommage à Elías Esparza « La Changuita ». Une pièce d'entrée. Des bouvillons de Santa Inés, La Asunción, Santa Fe del Campo (3ème et 7ème en cadeau), San Isidro, frères Arellano et Champ Royal, de jeu différent. Le 2e, récompensé par la traînée lente, et le 7e, gracié, se démarquent.

JORGE HERNANDEZ GÁRATE, oreille.

ANTONIO FERRERA, deux oreilles et une queue.

• ARTURO SALDÍVAR, paumes.

• PAOLA SAN ROMÁN, silence et retour sur le ring dans le cadeau.

LÉO VALADEZ, paumes.

BRUNO ALOI, deux oreilles