jeL'attitude du ministre de la Culture Ernesto Urtasun, détournant le regard, avec un geste sombre et les mains liées pour afficher un geste méprisant envers El Juli, lorsqu'il a reçu le Prix National taurin, est celle d'un parfait idiot. La perfection étant difficile, dans ce pays qu'on appelle encore par moments et parfois l'Espagne, Urtasun est obscène et même arrogant le paradigme de la parfaite imbécillité. La réponse de la poignée de main du torero, conforme à l'ordre du protocole d'un acte officiel auprès de SM le Roi, était le meilleur portrait de cette imbécillité. Urtasun est un crétin, maladroit, stupide, inculte, impoli… et dangereux. Très dangereux. Urtasun, dans un pays qui agissait véritablement comme un État européen développé, une démocratie européenne saine, ne servirait même pas à aider l'épéiste d'un pays sans chevaux. Dans ce domaine appelé Espagne, il est aujourd'hui ministre.
Mais le Urtasun ils abondent déjà Espagne comme un fléau de rancissement public-politique corrompu, dont les détritus proviennent de la sélection provisoire de tous les défauts que les êtres humains peuvent développer en politique. La tentation actuelle dans les dernières couches de la classe politique espagnole est devenue un renversement complet. Tout ce qui donne un coup de pied au plastron, qui tente de sauter par-dessus le mur, qui creuse et lâche, qui échoue, qui attaque avec le piton adverse, qui se balance et craque puis paraît courageux tout en étant doux, qui regarde l'épaulière et Pas aux yeux, tout ce qui ment pour cacher son état et son intention de faire du sang, est désormais à noter. Il ne va pas à l'abattoir, mais est agréé et agréé depuis l'éleveur Sánchez laissé pour le haras étalon Pablo Iglesias. C’est de cela qu’il s’agit et c’est à cela que nous devons faire face.
La politique espagnole a choisi une race de mauvais sang, un génie maléfique sans noblesse, une absence de dévouement pour tous, une condition choisie pour blesser. Le courage, la bravoure, le talent et la classe ne sont plus sélectionnés. Alors que dans notre monde nous recherchons le taureau flexible, celui qui a le plus de talent pour toutes les conditions taurines, lisons la tolérance envers chacun, le mensonge et la canaille prédominent. Ce n’est plus une question de position politique, puisqu’il y a des taureaux coriaces parce qu’il doit y en avoir, comme il doit y avoir des adversaires coriaces en politique. Il s’agit d’un défaut social/politique où les instincts politiques les plus bas priment, enveloppés dans un lien de progressisme qu’est le totalitarisme. Non. La politique d'aujourd'hui choisit l'involution, le bond en arrière, le retour à une politique d'intolérance, de confrontation, de mauvaise éducation, d'inimitié, de pointage du doigt, de murage, de persécution.
La politique d'aujourd'hui choisit l'involution, le bond en arrière, le retour à une politique d'intolérance, de confrontation, de mauvaise éducation, d'inimitié, de pointage du doigt, de murage, de persécution.
Le geste de Urtasunapplaudi par ces foules de terribles fans de la liberté, avec le foulard vert de la seule vérité, est un exemple de ce que nous faisons et de ce que nous avons. Un proxénète sans plus de curriculum que d'en être un, un crétin qui cultiverait sa crétinité sans plus de fraude sociale que ce qu'il causerait au minimum d'environnement qu'il devait souffrir de sa proximité, devient ministre pour que nous tous, Espagnols, sans le manger ni le boire, subir l'imbécillité couchée d'un type grossier, grotesque, un enfant chic sans goût (il faut être idiot pour être chic et ne pas avoir un goût en harmonie) et… dangereux. Parce que ces types errent librement dans ce pâturage social appelé Espagne, de la même manière que ces vaches parcourent cette mère après avoir volé même le lait de l'honorable mère d'à côté, qui a des études, des certificats, des notes et des qualifications acquises dans l'essaio et qui ne s'est pas infiltrée dans l'essai fermé parce qu'elle a le droit -les yeux de l'éleveur.
Ils parcourent librement ce pâturage appelé parfois Espagne ces voleurs stupides qui traitent leur pays comme un Patio de Monipodio avec le numéro 1 accordant des lettres de marque à des pirates déjà vaincus par la tentation. C'est ça le danger. Que nous avons normalisé le voleur. que nous pouvons seulement enlot Crétins. Que dans l'industrie de l'élevage de la politique actuelle, le morucho abonde et le soi-disant bon a une profondeur de champ limitée. Feijoo ou le fusible court de Abascal et celui qui a plein de haillons et une attaque courageuse (Ayuso) est tenu à l'écart de lui même dans son propre corral.
Ce que nous avons déjà accepté dans cette ferme appelée Espagne avec un naturel absolu, l'herbe, le chardon, l'épine, la mauvaise exécution, le type laid, la douceur. Nous l'avons déjà considéré comme un élément positif de notre paysage espagnol, apte à être approuvé dans le tentadero et à sortir dans les arènes pour que nous, Espagnols, oubliions ce que signifie combattre. Pour que nous, Espagnols, oubliions qu'il s'agit de la coexistence décente et complète d'un pays dont la perfection était inexistante, certes, mais dont la société de coexistence nous avait fait surmonter des siècles de frentisme et de guerres. De sorte qu’un Espagnol oublie même de serrer la main. Urtasun. Connard.