Par GERMÁN D’ JESÚS FERMÉ-MUNDOTORO

Le président du Conseil municipal des droits de l’enfant et de l’adolescent (CMDNNA) Campo Elías de l’État de Mérida (Venezuela) enfermé ce dimanche de manière arbitraire et dictatoriale les élèves mineurs de la Écoles taurines de Mérida, San Cristóbal et Maracay pour les empêcher de participer à Premier Concours des écoles taurines « Le Bonheur D’Un Torero »organisé par le torero Manolo Vanégas lors de l’inauguration prévue hier sur la plaza de tientas Lusitanos, de l’État de Mérida.

Comme prévu, le torero vénézuélien Manolo Vanégas inauguré le I Concours des écoles taurines, «Le Bonheur D’Un Torero», avec la participation d’élèves d’écoles taurines : Fondation École taurine San Cristóbal, École taurine « Humberto Álvarez » de Mérida, Académie taurine Rafael Orellana de Tóvar, École taurine Carmen Piñero de Seboruco et École taurine Maracay, dans l’arène de Lusitanos, à Mérida.

Tout était prêt pour offrir un beau spectacle taurin en vue de l’entraînement des futurs toreros vénézuéliens, quand soudain des responsables de la CPNNA, Conseil pour la protection des enfants et des adolescents de la municipalité de Campo Elías, État de Mérida, qui non seulement interdisaient aux enfants de combattre des veaux, mais étaient sortis de l’endroit, enfermés et séparés de leurs compagnons dans une pièce voisine.

Les enfants, les larmes aux yeux, ont vu de loin leurs camarades de classe tauromachie les veaux qu’ils avaient été ravis de leur donner quelques laissez-passer. et face à un veau pour la première fois, tout restait illusion.

On ne sait pas qui était l’autorité qui a ordonné aux fonctionnaires de CPNNA retirer du concours les enfants des écoles taurines de Venezuelaun événement que le torero tachirense Manolo Vanegas a organisé avec beaucoup d’efforts.

Les jeunes de plus de 18 ans où le seuls ceux autorisés à rester dans le concours qui a combattu des veaux, sans réellement poser de banderilles, encore moins les tuer.

L’avenir de Fête Brava au Vénézuela c’est dans les limbes, il n’y a pas de possibilité de former de nouvelles valeurs créoles.