mario maire et José Rojo ils ont failli se couper une oreille lors de la première corrida d’avril à Las Ventas. Le torero de Cuenca, revenu à Les ventes après huit ans, il a montré son visage après avoir été violemment baisé dans la chambre, alors que Rouge Le second s’est démarqué dans la première partie de son ouvrage, le meilleur bouvillon d’un confinement intéressant. La liste restreinte a complété le Badajoz Carlos Domínguez qu’il pouvait à peine se démarquer avec le sort qui lui revenait.
Mains courtes, aiguilles basses, tempes larges, avec la première finition, qu’il répétait à bon escient dans le manteau de Mario Maire. Il traversa Rogerinas au galop pour le conduire au cheval, où il servit son mayaldé en deux tiges Bientôt en banderilles, il tomba au sol dans la deuxième béquille d’une tâche qui Maire cela a commencé dans les médias avec le « cartucho de pescao ». L’animal accusa la chute, et bien qu’il acceptât franchement la supercherie, il lui fut difficile de bouger. Le droitier s’est montré calme, lui a laissé du temps, l’a poussé judicieusement, mais la tâche, due à la perte de l’animal, n’a jamais pris de hauteur. La salle, qui submergeait violemment le Mario Maire, qui lui a donné de la distance au début de la tâche. Le bouvillon n’obéit pas à l’anneau et prit le torero plein de Decks Mélo. Il est revenu au visage de l’animal sans veste, et à travers le python gaucher il l’a passé proprement comme une béquille, verticalisant la figure, profitant du voyage de la corne maniable de fin, dans une œuvre qui manquait de fil et de continuité mais qui avait des moments intéressants. L’oreille a été demandée, la loge ne l’a pas accordée et le torero a salué du tercio puis il a été longuement ovationné lorsqu’il s’est retiré à pied à l’infirmerie.
Le second a été renvoyé dans le tercio de banderillas par manque de force. a couru José Rojo et le cinquième année revu, long bouvillon, avec présure et criée, louché sur le python droit. Il a manqué de dévouement à l’animal de départ et aussi dans la cuirasse, mais dans la béquille il est venu et a répété avec avidité et transmission. Le départ de l’homme de Cáceres a été fort, d’en bas, avec la jambe pliée, ainsi que les trois premières séries, deux de la main droite et une de la main gauche, décrites avec lien et intensité. Il a un peu baissé le ton dans le quatrième, naturellement aussi, car la direction a remporté l’action, bien qu’il ait retrouvé son tonus dans le dernier tronçon. Il a fermé l’animal par le bas, l’a tué d’un coup de fouet au-dessus, l’animal a mis du temps à se retourner, le puntillero l’a tonné, et la demande d’oreille n’a pas suffi. Ils ne l’ont pas laissé faire le tour du ring. Extrêmement astifino le chapeau de Villamarta. Bien fait mais très sérieux, avec des charmes de présure et de cuatreño. Il a fait des corrallages au début puis a eu une attaque incertaine. Agile dans ses mouvements, rapide et brutal, il ne laissait pas le choix de Rouge, qui s’est tenu près des deux pythons et l’a tué de force.
Sous le tiers éclaboussé, avec le visage vers l’avant. Il s’est conformé dans les premiers tiers et la béquille est venue plus vite que la transmission. Début Carlos Domínguez travail à genoux dans les médias, avec une passe modifiée, dans ce qui était le moment le plus critique d’un travail sobre, avec une correction dans les formes, qui a été vécue froidement de la ligne. Le sixième, qui arborait deux cintres astifinas et un berceau généreux, a reçu des applaudissements. Le cor offensif de mayaldé et Carlos Dominguez, qui a basé son travail sur la main gauche, a volé quelque naturel méritoire au milieu d’une autre tâche sans écho.