toitrois mois de convalescence, c’est le temps de convalescence que les médecins ont prescrit pour Alvaro Alarcón, qui dans un mois et demi a son alternative à l’horizon le premier jour de San Isidro. « Je suis très excité et mon intention est d’être ce jour spécial », prétend sûr. UN pneumothorax avec fractures multiples des côtes lui a donné besoin d’oxygène et être intervenu ce lundi après l’avoir joué carrément avec un Fuenteymbro, qui l’a pris durement en entrant pour tuer ou mourir dans l’ouverture de Les ventes.

« Je me souviens que je ne pouvais pas respirer et quand j’ai voulu entrer pour tuer et ressortir avec mon deuxième bouvillon, je ne savais pas si j’aurais assez de force pour le faire. » La douleur l’empêche de répondre à cette interview par téléphone, mais dès Clinique de la Fondation Jiménez Díaz, le torero Alvaro Alarcón puiser la force de répondre par écrit par Whatsapp aux questions de mundotoro.

– TORO MONDIAL : Deux jours se sont écoulés depuis l’opération de lundi. Comment tu te sens?

-ALVARO ALARCON : « Avec une douleur normale, mais bien dans les limites de ce qui convient. »

«Le temps de récupération selon les médecins serait d’environ trois mois. Les médecins disent que c’est un processus lent et délicat, compte tenu des dégâts et de la zone touchée’

– TORO MONDIAL : Avez-vous eu besoin d’un respirateur ou d’une aide respiratoire ces jours-ci ? Quel genre de malaise avez-vous?

– ALVARO ALARCON : « Le premier jour, j’ai eu besoin d’oxygène. J’ai des douleurs dans tout l’hémithorax gauche et le repos est un peu difficile, vraiment ».

– TORO MONDIAL : Comment s’est passée l’opération, savez-vous combien de temps elle a duré et en quoi elle consistait ?

– ALVARO ALARCON :L’opération consistait, d’après ce qu’ils m’ont dit, à insérer le tube dans l’espace pleural pour résoudre le pneumothorax causé par les multiples fractures des côtes.

– TORO MONDIAL : Que disent les médecins ?

– ALVARO ALARCON : « Ils disent que c’est un processus lent et délicat, compte tenu des dégâts et de la zone touchée. »

– TORO MONDIAL : Comment passez-vous ou êtes-vous ces jours-ci à l’hôpital ?

« Le premier jour, j’ai eu besoin d’oxygène. J’ai des douleurs dans tout l’hémithorax gauche et le repos est un peu difficile’

– ALVARO ALARCON : ‘Je suis par terre. Les journées sont lentes, mais je les passe avec patience et enthousiasme. Ils me traitent très bien.

– TORO MONDIAL : Ça a été une grave mésaventure, mais vu le hic, ça a été un miracle…

– ALVARO ALARCON: « La vérité est que, oui, vous devez toujours rendre grâce à Dieu. »

– TORO MONDIAL : Vous l’avez littéralement rejoué encore et encore avec le deuxième braquage, très compliqué, d’abord dans l’enlèvement pour les gaoneras puis dans une tâche, toujours dans la lignée du goring…

« La prise a été difficile parce que je me souviens que je ne pouvais pas respirer et quand j’ai voulu entrer pour tuer et sortir pour tuer mon deuxième bouvillon, je ne savais pas si j’aurais assez de force pour le faire »

– ALVARO ALARCON : « Dès le premier instant, j’ai voulu montrer au public la livraison qui s’en venait. Comme vous le dites bien, d’abord dans ce retrait par gaoneras et ensuite avec mon premier bouvillon. Malgré le vent, j’ai essayé de faire des choses et surtout de me donner. Parfois ça sort et d’autres fois non, mais le dévouement doit toujours être présent ».

– TORO MONDIAL : Comment vous souvenez-vous de ce dur saut périlleux ?

– ALVARO ALARCON : « C’était dur parce que je me souviens que je ne pouvais pas respirer et quand je voulais entrer pour tuer et sortir pour tuer mon deuxième bouvillon, je ne savais pas si j’aurais assez de force pour le faire. »

– MUNDOTORO : Álvaro Alarcón a donné son visage dans Madrid…

« Si je montrais mon visage à Las Ventas ? Je préfère que les fans et les professionnels le jugent, ce que je peux vous dire, c’est que je suis allé me ​​donner complètement à Madrid’

– ALVARO ALARCON : « Je préfère que les fans et les professionnels jugent ça, je peux vous dire que je suis allé me ​​donner complètement à Madrid. »

– TORO MONDIAL : Combien de temps les médecins de récupération ont-ils stipulé ? Et pour la décharge ?

– ALVARO ALARCON : «Pour la sortie, ils s’assurent que le pneumothorax est complètement résolu et que mes poumons répondent correctement. Le temps de récupération selon les médecins serait d’environ trois mois.

– TORO MONDIAL : L’alternative est début mai. Votre doctorat peut-il être en danger?

– ALVARO ALARCON : « Comme je vous l’ai déjà dit, les médecins ont stipulé ce temps de récupération, mais je suis très excité et mon intention est d’être ce jour très important. »