Le torero Sébastien Castellaqui a deux après-midi dans l’abonnement et réapparaît devant les fans de Sévilleest le cinquième et dernier protagoniste de la série d’interviews qui ont plongé dans les illusions et les préoccupations des toreros avant l’importante nomination de Séville.

Réalisé par l’équipe de communication du Entreprise Pagésl’interview nous révèle un Château sincère et direct qui nous parle de son lien fort avec la ville de Sévilleson expérience dans la Maestranza et la tauromachie comme art éphémère.

Voici quelques-unes de ses citations marquantes :

«Séville c’est un point final. Son architecture, ses rues, son arôme… Plus tard, si nous parlons de ses gens, cet aje, cet art, cette coexistence, ce savoir-vivre… Je suis arrivé le Jeudi Saint à l’aube et j’ai été captivé. C’est ma maison, où se trouve ma vie et où j’aime. Je me considère comme un plus, étant français avant tout, on ne peut pas renier ses racines».

«La Maestranza ne sait pas seulement voir les taureaux, elle sait les sentir. Il les voit différemment, il les touche, il les sent…».

«Je crois sincèrement que le travail que j’ai le plus apprécié dans Séville était celui de ce taureau garcia jimenez à la foire de San Miguel.

« Le fait d’être devant un animal, de pouvoir créer, de pouvoir le partager avec un public, c’est différent. Tout art est réel mais le seul qui soit éphémère, que vous le voyiez et que vous ne le voyiez plus, c’est la tauromachie.