Un pendentif fut le premier : décolleté, avec un cou, coudé de pythons. Il l’a reçu le juillet avec beaucoup de détente et de tempérance à la véronique, perdant à peine des pas. Le taureau avait toujours une attaque avec le piton dedans, en profondeur et dans la ligne courbe, mais avec le défaut de lui coûter les coups et de répéter ses attaques. Travailler de moins à plus de le juillet, avec une première partie donnant du temps entre béquille et béquille, et une autre d’une grande puissance, prenant l’attaque très longue. Une crevaison avant une fente légèrement arrière et traversée a réduit le prix d’une oreille à une ovation bruyante.

Plus grossier de sorts était le quatrième, qui éperonnait son type avec une réflexion fidèle. Il a tout fait en sa faveur le juillet avec des béquilles sans trop serrer, en le portant toujours très longtemps. Il lui manquait cette livraison au taureau en plein abattage, quand le juillet il a choisi de raccourcir les procurations en plusieurs tours inversés. Un travail de prix qui une fois de plus est resté sur le fil de l’épée. Ovation après avis.