Le torero Juan Ortega, qui a deux après-midi dans l’abonnement, est le deuxième protagoniste d’une série d’interviews qui cherchent à révéler les sentiments des toreros avant l’important événement de Séville.
Realizada por el equipo de comunicación de la Empresa Pagés, la entrevista se adentra en la visión del torero de la ciudad de Sevilla y su plaza, en sus desvelos ante la cita con la Maestranza, en sus primeros recuerdos de la plaza y en su presencia à la foire.
Dans un reportage réalisé au Patio de las Flores de Triana, Juan Ortega laisse quelques phrases marquantes :
« Séville est une façon de vivre, une façon de ressentir, une façon de pleurer, de souffrir, bref, c’est une façon d’être. Triana est la même mais avec sa propre personnalité. Triana met sa touche, son goût, sa profondeur aux choses. C’est différent. »
«Mes premiers souvenirs de la Maestranza sont liés à la joie que mon père m’a donnée en m’emmenant aux corridas. Il y avait une illusion à la maison qu’il n’y avait pas de journées normales ».
« Au salon, quand on est annoncé, un après-midi c’est déjà inquiétant… Quand on est deux, le travail s’accumule. Mais je suis très heureux, car combattre est une opportunité que la vie vous donne et le faire à Séville est un privilège ».
«La première fois que j’ai combattu à Séville, j’ai eu l’impression d’être dans un temple».
«La marque que j’ai pu laisser sur cette place a été le fait qu’ils ont joué deux fois la musique avec la cape. Mais je pense que la marque se laisse avec les années.