Juan Ortega, torero de friandises chères et d’œuvres à retenir. Un torero différent, d’une classe exceptionnelle et d’une grâce créative. Il y a des toreros qui demandent des poètes et ortega C’est l’un d’entre eux. Torero d’illusions et de pincements, de trône à la cape, de magie à la béquille et de soie aux cœurs. Le carré et le biseau sont inutiles pour analyser l’arôme de la mémoire. Le souvenir éternel et latent d’un après-midi de tauromachie.

saison des saveurs Juan Ortega. 31 après-midi et dans chacun d’eux, la belle brosse taurine. Et d’encadrer des chefs-d’œuvre dont le reflux reste dans la rétine de ceux qui les ont contemplés.

Entre autres, deux après-midi : Le port Oui Tour. Tour Oui Le port. La personnalité indomptable et profonde de quelqu’un qui se bat avec son âme. Un excellent travail dans Le port à un taureau de Juan-Pédro Domecq qu’il avait tout ce qu’un taureau doit avoir pour se battre avec cette lenteur, ce tempérament, ce soin, ce pouls et cette richesse de nuances. les nuances de Juan Ortega au complet.

Oui Tour. La goyesque. deux oreilles d’un ‘vegahermosa’ à laquelle une beauté du travail s’est accrochée. La beauté créative, le cadre incomparable, les délices de Juan ortega et la magie d’un après-midi inoubliable. La valeur ajoutée d’une personnalité comme peu d’autres dans l’ensemble des rangs.

Mais Juan Ortega est bien plus. les quatre oreilles de manzanares dans ce qui fut tout l’événement, deux tâches aussi élégantes et aussi décalées que suggestives. Oui roquettes. Oui Algésiras. Oui Arnedo…..Inspirations. Juan Ortega. Sécher.