Je revenais La Palmosilla dans les rues de Pampelune. Trois taureaux noirs, deux alezans et un rouge dans le Corrals à gaz. Course de taureaux divisée en deux parties et se terminant miraculeusement dans les arènes. Le troupeau sœur est sorti dès les premiers mètres, les licols ouvrant le groupe dans les premiers mètres. Cuesta de Saint-Domingue. Un tronçon rapide, avec plusieurs descentes des deux côtés de la rue jusqu'à atteindre le Place de la mairie, où les taureaux prenaient la tête du troupeau. Un coureur au sol s'est levé à l'arrivée des taureaux, dans l'un des premiers moments les plus dangereux de la course des taureaux, avant que trois taureaux ne prennent la tête de la rue. Marchands.

Le confinement dans la rue a changé Bureau de poste, où le peloton s'est ouvert en trois sections le long de la rue, ce qui a permis de belles courses au sein de la foule et du nombre de personnes debout des deux côtés de la rue. Noblesse absolue de l'équipe à cornes de Cadix, qui a maintenu son rythme et sa trajectoire à tout moment, sans vaincre à aucun moment, malgré les nombreuses chutes devant elle.

Egalement plusieurs moments de tension dans la courbe Téléphone, en descendant vers la ruelle. Une course de taureaux rapide, le premier taureau arrivant sur le ring à deux minutes et six secondes, mais avec une fin miraculeuse et angoissante. Deux taureaux ont barbelé l'arène et ont mis plus de deux minutes à entrer, malgré les tentatives continues des maîtres, provoquant le chaos parmi les gens de la place, courant d'un côté à l'autre. Plusieurs rangées de coureurs sur les planches, sans entrer dans l'allée, s'arrêtèrent complètement, tandis que les cornus barbèrent les coureurs avec une noblesse qui ne les conduisit jamais à la défaite. Un miracle absolu jusqu'à terminer la corrida en quatre minutes et sept secondes.