Par André Viard (France)

Cinquième bouvillon : Le cinquième, également avec beaucoup de force et un bon visage, est sorti rapidement et a décoché quatre tirs à distance, meilleur le dernier où il s'est davantage concentré et a poussé depuis la droite. Il a attendu devant les drapeaux et a salué le groupe. Comme le premier, le deuxième et le quatrième, ce cinquième de Barcial Il humiliait avec noblesse, manquant davantage de continuité. Jésus de la Calzada Il était très posé et calme et a su tirer le meilleur parti des deux pitons. Très bien. Il a tué d'un seul coup et d'un seul coup fou. Une fois de plus, une demande a été ignorée et une fois de plus, la présidence a été démis de ses fonctions. Retour sur le ring.

Quatrième direction : Le quatrième sort très froid et attaque à deux reprises le cap du cap par le piton droit. Il s'y conforma sans plus attendre dans les cannes, où cela prit du temps. Il a complètement changé dans la muleta, où le bon traitement que le torero, Cela lui a fait révéler le bon côté de son casting, qui dans les années 50 et 60 était l'un des favoris des personnages : de la bonne broderie, beaucoup d'humiliations et même des voyages à l'occasion. Il lui manquait plus de vie, de courage, de force ou de désir de développer davantage ce potentiel. La tâche restait alors en plusieurs esquisses bien conçues, mais sans continuité. Arruza Il resta coincé avec son épée et entendit un avertissement. Silence.

Troisième barre : Le troisième est sorti très courageusement dans la cape avec un inconnu dangereux et très malicieux dans le plastron, toujours à la recherche d'un retour et renversant perfidement. A la sortie de la démolition, il s'est mal pris Guillermo Leiro Il s'est rendu à l'infirmerie où l'on a reconnu qu'il avait reçu un coup. Andrades Il l'a signalé avec facilité, meilleur que la troisième paire à l'intérieur sur les mêmes planches. Il 'barcial' Il n'avait pas du tout la qualité des deux premiers et est arrivé très lentement. Malgré sa mise en situation et son insistance, le torero n'a pu que démontrer son courage et son bon travail. Il se jeta droit et en sortit un tout un peu croisé qui mit du temps à faire effet. Palmiers.

Deuxième barre : Le second, plus titré, était discret à cheval, mais chargé à belle foulée et humilié dans le combat. De la même manière que le premier, il s’agissait d’un taureau vacillant plutôt que touché. Quand le torero l'a bien traité. Il lui offrit vingt coups de reins humiliés et tempérés, oui, sans continuité. De la Chaussée Il a fait de son mieux sur le piton gauche et l'a complètement tué. Une demande forte a été injustement ignorée par une présidence mal placée et rejetée. Retour sur le ring.

Premier pilotage : le premier des barcial, une chaussure brillante, une braga et des bas, beaucoup humilié dans la cape sans quitter les défis. Il s'exécuta sans beaucoup de zèle en deux coups, mais resta humilié et décroché dans les capes.
Bien qu'il ait atteint le dernier tiers, lorsque le torero l'a accroché par le bas et vers l'avant sans toucher brusquement, le Barcial il suivit noblement la béquille. Sinon, il trébuchait sans passer. Arruza Il a tiré une poignée de coups naturels bien tirés et a tué avec une poussée arrière complète qui a mis du temps à faire effet. Silence.

Feuille de célébration :

Fer de Barcial - Espagnearène Céret, France. Deuxième célébration de Céret de Toros 2024. Plus des trois quarts d'occupation. Des bouvillons de barcial,

MARIO ARRUZA, silence et silence après avertissement.

JÉSUS DE LA CALZADA, retour sur le ring après une forte demande et retour sur le ring.

MIGUEL ANDRADÉS, paumes.