Pendant de nombreuses années et il y a de nombreuses années, plusieurs médias ont publié la soi-disant « échelle ». bullworld, depuis sa création il y a plus de deux décennies, a développé un système de base de données qui surveille toutes les activités dans tous les pays. Une base de données qui remonte à 1999. Et qui, à l’heure actuelle, a une valeur inestimable en raison de son caractère étendu, complexe et unique. Il y a quelques années, les autres médias ont cessé de publier des statistiques, mais bullworld, grâce à un engagement personnel de son équipe éditoriale, a continué à le faire. De telle manière qu’il est possible de connaître l’histoire dans n’importe quel pays de n’importe quel type de torero, ranchs…, en distinguant selon la catégorie de lieux, de telle sorte que le croisement des données de recherche alimente la demande des plus agités chercheur de données.

bullworld vous n’êtes pas obligé d’avoir quoi que ce soit. La corrida oui. Il est obligé sauf s’il renonce à un minimum d’ordre statistique et renonce à un minimum de honte, celle d’avoir les statistiques les plus fiables et cataloguées possibles.

De nombreuses municipalités considèrent bullworld la place des statistiques officielles, de telle manière qu’elles demandent, dans leur cahier des charges, les toreros qui sont au classement des bullworld entre tel ou tel endroit. Et même s’ils ne l’ont pas demandé, cela n’a pas d’importance, car le seul lieu tangible de vérification est bullworld. D’autre part, les professionnels ne cessent d’exiger que le classement ou les statistiques de ce média soient à jour. Matière entre impoli et détendu, car dans un service aussi gratuit que cher. Nous n’avons pas de classement, nous avons des statistiques et une large base de données dont la mise à jour est coûteuse en heures, jours, semaines et mois de travail.

bullworld vous n’êtes pas obligé d’avoir quoi que ce soit. La corrida oui. Il est tenu, sauf s’il renonce à un minimum d’ordre statistique et renonce à un minimum de pudeur, de disposer des statistiques les plus fiables et cataloguées possibles. Nous n’avons pas cette obligation. C’est un travail que nous donnons gratuitement pour lequel nous ne demandons pas un seul euro ou une palme. Nous ne demandons qu’une chose : que ceux qui l’utilisent gratuitement et en bénéficient, disent poliment merci. Ou, du moins, qu’il est compréhensible avec son déficit de mise à jour. Sinon, si votre désir est de l’utiliser quotidiennement, cela ne ferait pas de mal de le payer. Ou fabriquez le vôtre.

A partir de ce moment, les statistiques de bullworld poursuivra son œuvre. Mais il sera ouvert au public utilisateur lorsqu’il sera mis à jour… au rythme de bullworld. Il manquerait plus. Et si quelqu’un veut qu’il en soit autrement, appelez le Ministère de la Culture, l’ANOET, la Fondation, chaque association de matadors, novilleros, rejoneadores, éleveurs, etc… qui, sans aucun doute, la tiennent à jour. Et ici la paix et après la gloire. Cette chose est une chose et une autre chose est d’ajouter le lit.