le torero Antonio García « Le Chihuahua » a remporté une importante victoire ce vendredi 9 septembre au Monumental Zacatecas après avoir coupé une oreille et aussi remporté les trophées Drapeau d’argent et celui accordé par la Peña de Ciudad Juárez.
Une marque importante a été laissée sur le ring par le tiers qui a été achevé par Uriel Moreno « El Zapata » et Israël Tellezqui a brillé avant le jeu exceptionnel des taureaux de fer de Zacatecan José Julian Llaguno dont les héritiers ont envoyé un confinement bien présenté, selon la catégorie du Monumental Zacatecas.
« Luca », correspondait à Uriel Moreno « El Zapata » qui a obtenu beaucoup de cadence lors des combats avec la capote, pour se recréer par verónicas. Fidèle à son style, et plaisant aux respectables, il a couvert le deuxième tiers avec trois bonnes paires. Débordant de facultés et de l’inventivité qui les caractérise, ils se sont clôturés de manière spectaculaire avec le Par Monumental.
Au centre du ring, un changement par derrière marquait le début de sa tâche dans laquelle il laissait de bons passages sur le chemin de droite. C’est un taureau qui lui a permis de structurer avec brio une tâche qu’il n’a pas couronnée par l’épée.
« Grand Richard », pour Israël Tellez, qui en avait un bon. le torero de Guanajuato accueilli avec un retrait par Navarrais. Il a misé gros, a pris les bâtons pour sortir trois bonnes paires. Le taureau qu’il a humilié, a eu un voyage qui combiné avec la commande de Tellez cela a laissé des muletazos chauds et profonds, avec cadence et rythme. C’était sans aucun doute un bon taureau que le torero de Guanajuato cette série en forme de bonne profondeur et de fabrication. Erratique avec l’acier, il a dû se contenter d’applaudir, ayant laissé échapper l’appendice.
Le troisième de la fête, « Tito », à Antonio García « Le Chihuahua », avec lequel il s’est recréé avec une bonne salutation de capotero et a ensuite signé un retrait pour les chicuelinas. Le torero a mis l’émotion dans les gradins en couvrant de belle manière le tiers des banderilles.
Avec des idées claires et un pas ferme, il a commencé son travail dans lequel il était puissant, sortant les bons muletazos d’un taureau qui restait. Pieds joints, et au voisinage des pythons, il en extrait dignement les coups qui avaient du brio et qui reflétaient aussi la maturité et l’évolution de sa tauromachie. Il a tué d’un grand coup de poing pour lui couper une oreille.
Le quatrième de l’après-midi, «Boscocho», deuxième du lot de Uriel Moreno « El Zapata »avec lequel il a de nouveau porté la cape et les banderilles, cependant, sur la béquille, il a trouvé que le spécimen avait déjà peu de mobilité qui ne lui permettait pas d’aller plus loin.
Avec le cinquième, « Lolo », deuxième du lot de Israël Tellez, encore une fois, il s’est battu avec repos et naturel. C’est un autre taureau qui lui a permis de briller. Il a mis des muletazos importants, de grande profondeur, très longs, profitant de la bonne course du taureau élevé par José Miguel Llaguno. Erratique avec l’acier, il n’a salué qu’en troisième.
« Grand-père », était la place proche avec qui Antonio García « Le Chihuahua » Il a fait remonter l’émotion à la surface avec les paires de banderilles, exposé une énormité en plaçant la troisième, à la casse. Alors le public l’a appelé pour faire le tour du ring entre les cris de torero, torero !
Il a réalisé une tâche ardue en raison de la mobilité limitée du taureau, mais le torero du Nord a tout misé sur le taureau et a fini par signer un travail convaincant. Il a tué d’un coup précis mais le juge du tribunal, malgré la forte demande, ne lui a pas accordé son oreille et Antoine tourné le cercle.