OUun énorme travail de Moran, énorme dans la tauromachie, dans la connaissance et la disposition, pour encadrer. C’était la quatrième d’une belle course sans fin, bien améliorée entre les mains de le mois de juilletqui réapparut triomphalement et Thomas Roufus, qui purgeait une année d’alternative. le de Concombre Il a donné une grosse cote avec la capote et naturelle, il a été retourné et blessé par le troisième et a attendu d’expédier le sixième fissuré pour entrer dans la salle d’opération. Après-midi de toreros avec une tâche peu valorisée en trophées. de la grande porte dans Madrid ou dans Séville. Et comme c’est différent, il a même dit au public qu’un suffisait car l’épée était tombée bas. Ça vient d’une autre planète…

Sérieusement, le premier, le visage découvert, est resté sous le manteau, comme fissuré, a protesté docilement en retirant le bâton. Compliqué dans les banderilles, où il n’a pas arrêté, et très défensif dans le dernier tiers. Moran il a pris l’épée meurtrière dès le début, l’a malaxée un peu et après trois coups et coups, son travail a été réduit au silence.

Énorme Moran avec la chambre. Ils ont demandé la deuxième oreille mais comme l’épée est tombée bas, le torero lui-même a fait des gestes au public pour qu’il n’en demande qu’une seule. Avec la capote, il était superbe, avec le taureau entrant également à l’intérieur, alternant d’abord verónicas puis chicuelinas déjà dans les médias. Le début de l’abattage était d’une catégorie capitale, le taureau voulant craquer. Il l’a sorti des médias et tournant et enchaînant, tournant et enchaînant, il a composé une tâche de longue série, sans jamais laisser le taureau voir un match nul. Quel travail. Quelle catégorie. Très collectionné aussi. Des natures, longues, décrites au ralenti, à encadrer. Tâche de deux oreilles dans n’importe quel carré.

Le second alezan dégoulinant, un peu grossier, resserré aux tempes, un pur taureau sans lâcher complètement mais avec du fond. il l’a combattu le mois de juillet avec la cape à la vitesse du taureau, et après un retrait des chicuelinas, la tâche comptait six tours mesurés en tout, le taureau obéissant toujours aux cites mais sans se rendre complètement. Taureau Enrazado, pas courageux, qui avait de l’émotion. Le torero était ferme et après une fente coupa la première oreille.

Un autre taureau bien présenté, le cinquième, avec une certaine qualité mais une race juste. Il promettait bien plus qu’il ne l’était. Il s’est laissé combattre avec la capote, le torero l’a mordu, qui a trinqué au public pour qu’il commence à travailler avec sa jambe pliée, se battant en avant. Le taureau est descendu un peu, c’est pourquoi le travail de le mois de juillet c’était toujours en faveur de la corne, sans la serrer, toujours en s’accrochant avec les vols, pour qu’elle dure plus longtemps. Quand il a été dépensé, des circulaires inversées liées à de très longs changements de main ornaient la finition. Il a coupé une autre oreille et ils ont légèrement demandé la seconde.

Roulé le troisième à roux au début d’une suppression. Le taureau a pris le taureau de Tolède, qui a boité dans l’infirmerie pour en ressortir. Énorme bascule. Il est revenu à la face du taureau pour combattre Veronica, très lentement d’ailleurs, avec sa sacoche cassée au niveau de son genou gauche. Bien présenté l’animal, beau python et cob. Il a déjà très bien essayé de le combattre avec la cape de départ, malgré le fait que le taureau soit parti sans le savoir. Après l’accident, il a commencé à travailler en rythme sur ses genoux puis, des deux mains, tant que durait le taureau, l’a frappé où – quinze muletazos avec expression, cadence et propreté barbare. Se place roux etn un endroit où les taureaux n’ont d’autre choix que de charger. Il a fermé pour des ballerines avec le taureau fissuré et après une crevaison et un stoconazo il s’est coupé une oreille qu’il a marché avant d’entrer dans l’infirmerie.

Le taureau de moindre poids, plus battu, plus ouvert de tempes et de face fermait la place. Race très juste. Il fallait en avoir beaucoup. il l’a combattu roux de catégorie avec la capote, avec boussole, jetant le corps en avant… Sur la béquille il fallait s’approcher très près, le frapper pratiquement avec les vols de la béquille sur le museau, pour qu’il se jette à moitié en avant. Le torero a fait un effort énorme, complètement boiteux. Le public n’a pas fini de le voir. Il est resté longtemps devant le taureau. Il a accueilli une ovation.

Feuille de célébration :

arène de Valladolid. Deuxième de la Foire de Notre-Dame de San Lorenzo. Près de trois quarts d’entrée. taureaux de Dimanche Hernandez (1ère, 2ème, 3ème et 5ème avec le fer de Garcigrande), de formes et de types variés mais avec une bonne présence en général. Une belle course sans fins, bien améliorée par les trois toreros.

MORANTE DE LA PUEBLAsilence et oreille à la demande du second

• LE JULI, oreille et oreille avec légère demande de la seconde.

TOMAS RUFOoreille et ovation