Troisième: Le troisième, avec du fer Des coupes, Il était un autre étranger au prototype et aux déchets de cette foire, haut de ses mains, sans finition et sans expression. ça le fait cailler Pablo Aguado au cap Véronique, tout naturellement, sans imposture et avec beaucoup de serrage, malgré le taureau qui a enfoncé le piton gauche dans le sol, coupant le récépissé. Cela vient de l'intérieur lors du retrait ultérieur de Veronica, après un coup de poing mesuré. Il baisse la tête dans la seconde. Une belle réduction pour les tabliers Juan Ortega, terminé par une énorme moitié de Veronica. Fait la réplique Ortega à travers les chicuelinas, où le taureau proteste davantage et échoue.
Béquille : Démarrer Pablo Aguado avec essais, passages dans les deux pitons, avant une première série profitant de l'inertie et du mouvement du taureau. Celui de Taureaux de Cortéssans classe excessive, chargeait avec le piton adverse comme la tauromachie de Pablo Aguado Cela exigeait un plus grand dévouement. Aguado a renforcé la tâche dans le siège de sa figure, avec des naturels lâches de très bonne facture, mais sans possibilité de liaison et de transmission qui manquaient à l'animal. Souffrir Aqueux un coup violent au niveau du ventre dès la première tentative. Il ne ralentit pas dans la seconde, réussissant une grosse fente. Ovation.
Deuxième: En dessous de la présentation minimale le second, un taureau sans expression, sans présure et sans sérieux. Profile bas. Le contraire de l’harmonie et du bon goût. Laid. Soulever des protestations publiques. Il le reçoit de Veronica Roi Rocher, très tempéré, mettant le poids du corps dans chaque lancer. Un bon bouquet qui se termine par deux bas Veronica. La punition se mesure au cheval.
Béquille : Démarrer Roi Rocher dans les médias à genoux avec deux passes échangées dans un départ vibrant qui fait jouer la musique. Une série à droite à mi-hauteur dans la première série debout, avant de l'exiger dans la seconde. Avec le battement ouvert, embrassant avec la balle de la muleta, portant l'attaque par le bas. Du même ton au naturel, donnant un temps entre muletazo et muletazo, pour gagner en longueur et en dimension. Le taureau descend un peu, bien que suite à sa bonne note, et entre en Roi Rocher dans les champs de banlieue, victime d'un saut périlleux. Il revient chercher des bernadinas, changeant le parcours du taureau. Un répit pour la ponte à chaque passage du taureau. Une finale rythmée, avec un changement de main qui met le public sur pied. Une fente détachée, mais dont l'effet est si rapide que son placement passe presque inaperçu. Deux oreilles.
Premièrement : un grand taureau bien fait ouvre la place, décollé du sol, légèrement monté. Viande en vrac. Il pénètre dans le manteau de Juan Ortega, notamment pour le piton gauche. Après la première rencontre, où il pousse fermement, la condition du taureau s'améliore par le piton droit, toujours avec l'intention de charger avec le piton intérieur, même si le parcours est court. Le taureau attend dans le tiers des banderilles, marquant toujours son désir vers l'intérieur.
Muleta : Le taureau a une charge noble par le piton droit, bien qu'il lui soit difficile de tirer vers l'avant aux extrémités. Cherche Juan Ortega Dans la première série, la tauromachie était très courbe et délicieusement tempérée, avec quelques accrocs à la fin dus à la volonté d'endormir le muletazo. A gauche, il bougeait sur ses mains, sans passer. Les taureaux vivent la tâche patiemment, mais la charge du taureau les empêche de hausser le ton. Poussée. Palmiers.