det la tâche au troisième, aux trois avis du cinquième. De la victoire au burraco brun après une tâche puissante à la désinhibition après le deuxième avertissement de Roi Rocher qui a donné la victoire aux autres en entendant les trois avertissements. Même sans connaître la raison d’attendre la mort du taureau – ou le message final – sans prendre de risque. Tout s'est arrêté face à l'expérience de s'annoncer par une corrida de Comte de Mayalde, monnaie toujours plus courageuse, plus régulière dans les arènes et avec des types plus petits. Une ambiance typique des personnages, avec des divergences d'opinions dans les lignes, dans un après-midi mouvementé et étrange depuis le début, quand Jorge Martínez et Cajetan Ils ont subi des sauts périlleux lorsqu'ils ont d'abord enlevé le plus doux du cheval. De la transe, le second est sorti avec deux trous dans la tête, tirant sa griffe pour sauver son retour à Madrid très affaibli physiquement. Confirmation de l'alternative et de sa bonne opinion de Murcie.

Il a toujours eu la course Comte de Mayalde une douceur sous le pectoral, qui se traduit par une recherche constante du poitrail du cheval, et des attaques inégales dans la limite de la race et de la transmission, hormis le 'Engrais' qui a terminé troisième. Sérieux devant et bien fait, il a vu vite Roi Rocher dans le reçu pieds joints que son python était le bon, pour lequel presque tout le combat a eu lieu. Aussi, début des travaux des statues dans le troisième, changement de la béquille derrière, pour profiter du piton et du terrain favorable à l'intérieur. La série avait beaucoup de puissance et de connexion grâce à ce python, avec un contrôle et des lignes exquises. Une corrida retentissante et sans beaucoup d'arguments pour des adversaires toujours à la recherche de quoi récriminer. C'était plus difficile pour le taureau Toledo à cause du piton gauche puisqu'il n'a jamais été inséré, jusqu'à Roi Rocher Il attendait aux embroques avec un courage sec. L'une des tâches les plus sérieuses de Roi Rocher dans Madrid. L'épée est entrée en bonne place du premier coup, mais avec une trajectoire croisée qui l'a amené à user de la folie. Et là, la victoire était perdue. Après la demande, les applaudissements n’ont pas eu la force de sortir et de saluer. Des choses étranges.

Même si la corrida était calme, le degré d'ostentation de ce manque de bravoure était inégal. Parmi ceux qui ont parcouru tous les tiers du lot de cannes, il y avait le cinquième, qui a ensuite trouvé du zèle dans la première série par la main droite de Roi Rocher, en laissant toujours la béquille sur le visage. La demande a blessé l'homme cornu, attaquant dans le suivant – également plus au milieu – avec le piton extérieur, allant aux touches somnolent et sans dévouement, pour ne jamais finir de s'éloigner. La connexion est difficile. Sans être utilisé, il n'a jamais fini de se dépenser, même si ses attaques ont ralenti, laissant le temps aux voix discordantes. Après plusieurs perforations, lorsqu’un avertissement eut retenti, l’épée se dirigea vers le dessous. Le Péruvien attendit que le taureau tourne, pendant que retentissait le deuxième message. Le taureau commença à porter jusqu'à couvrir un tiers de l'anneau, tandis que le Péruvien contemplait la scène immobile. Les lignes reprochaient l'usage du bourreau. Il ne fit aucun signe de s'en servir, recherchant le taureau, attendant qu'il tourne ou que le troisième message vienne de la présidence. La vérité est que les deux sont arrivés en même temps.

C'était la touche finale à un après-midi qui avait commencé par deux sauts périlleux dans le premier tiers des barres. En vol doux, le taureau Comte de Mayalde accablé Jorge Martínez et Cajetan, Celui-ci en est ressorti plus endolori et malmené, sans pouvoir trouver de solution à une veste fendue en deux dans le dos. Il est sorti de transe dans la douleur, avec deux coupures à la tête, devant passer par l'infirmerie avant le départ du deuxième et après sa mort jusqu'au sixième. Cet accident s'est produit dans l'après-midi de Cajetan, sauvée avec course face à son état grièvement blessé. Le respecter, même s'il n'a pas trouvé la lumière. Le second ne chargeait qu'en longueur dans le piton gauche et à l'aller, mais avec juste la bonne transmission. Avec le sixième, si rond dans sa facture et sa finition, c'était impossible.

confirmé Jorge Martínez son alternative et validé un concept qui vaut la peine d'attendre. Le premier oscillait entre colère et dureté, s'effondrant après avoir réclamé la béquille. Le quatrième était plus noble – et était répertorié comme sixième, changeant d'ordre lorsqu'il fut trouvé. Cajetan à l'infirmerie -, même si avec quelques voyages vides de toute transmission qui soustrayait l'écho d'une tâche bien dessinée par Jorge Martínez, surtout dans la corrida naturelle. Il ne pouvait pas faire grand-chose d'autre.

Feuille de célébration :

Fer du Condé de Mayalde - Espagnearène Las Ventas, Madrid. Le treizième du Foire de San Isidro. Plein de « Pas de billets ». taureaux de Comte de Mayalde, Jeu bien présenté, bien réalisé, mais médiocre dans son ensemble. Course douce sur bâtons, toujours à la recherche du poitrail du cheval, et avec peu d'options sur la muleta. Le troisième, qui possédait un gros python droit, a été sauvé de l'incendie.

• CAYÉTANO, silence et silence.

• ANDRÉS ROCA REY, applaudit après deux avertissements et siffle après trois avertissements.

• JORGE MARTINEZ, qui confirme l'alternative, le silence et le silence après avertissement.

Filipe
Filipe

Je m'appelle Filipe, rédacteur du média Actutoro. Passionné par l'univers de la corrida et la majestuosité des taureaux, je m'emploie à partager et faire comprendre cet univers à travers mes articles.