Adrien Salenc a remporté une grande victoire en Goyesca Bleu avec lequel a commencé cet après-midi le Foire Bayonne Atlantique. Le torero français a coupé quatre oreilles et une queue lors d’une corrida classée la toison et est sorti sur les épaules avec son compatriote jean leal, qui a également coupé les quatrièmes oreilles. complété la liste Paul Aguadosubstitut rocher roiqui avec le plus mauvais sort a laissé des restes de sa classe et a salué une ovation à la mort de son premier taureau.
Le troisième, profond, musclé, avait du tempérament dans son attaque, de la même classe mais plus profond que ses frères, et Salenc il a mis de l’âme dans le ragoût. Le Français a tout fait lentement, il a décrit le travail avec plaisir et repos, les muletazos avaient la propreté et les séries, l’harmonie. Ses compatriotes ont apprécié l’ensemble, terminé par une excellente fente après laquelle les deux oreilles ont été sollicitées, ce que le président n’a pas hésité à accorder.
Un taureau avec du corps et du volume clôturait l’arène, très dans le type « à queue », qui avait de la qualité, du rythme et de la durée. Le taureau de la corrida. Salenc Il s’est tempéré au fur et à mesure que la tâche se développait, qui montait en niveau lorsque la tauromachie prenait la main gauche. Il y avait des muletazos de grande course et longueur et une fermeture savoureuse, profitant des voyages en faveur de l’amour, des changements de main, des circulaires et même un guindeau agenouillé inclus. Après une grande fente, les deux oreilles furent fortement sollicitées, le public continua à réclamer le retour sur le ring pour le taureau et au milieu du brouhaha, le président accorda la queue avant de sortir le mouchoir bleu.
Remarquable taureau le quatrième, avec lequel jean leal, après avoir mesuré l’animal sur le cheval, il a répété la saltillera capote en main pour ensuite commencer à genoux au milieu, avec une passe changée par derrière, une tâche aux vertus les plus reconnaissables de ce torero : une première partie très enchaînée et réunis en ronde pour finir de précipiter l’homme cornu entre les pythons, avec dominance et autorité. Il s’est jeté pour tuer droit, a chargé une fente excitante et après la mort spectaculaire de l’homme cornu, il a joyeusement marché des deux oreilles.
Haut le premier, avec boite et squelette. Il avait autant de bonté qu’il mesurait de force et de puissance et bien que jean leal Il a tout fait pour lui, lançant les vols très doucement et le béquille avec un pouls et une propreté, le travail n’a pas atteint la ponte en raison du manque de transmission du taureau.
Le second, plus bas, plus paré, avait un excellent fils mais déjà en banderilles il cherchait l’abri des planches. Aqueux a répondu par une savoureuse suppression de chicuelinas à une intervention torero de Salenc pour les tabliers, puis dans le dernier tiers, il a essayé de tenir un animal qui sortait toujours sans se rendre compte de la supercherie. Le travail avait une bonne expression, une embroque exquise, mais manquait de lien en raison du manque de zèle du taureau.
Le cinquième était un tank, profond, trapu, de presque six ans, qui était en désaccord avec le groupe car, bien qu’il n’était pas méchant, il n’avait pas la qualité de ses frères. animal terne avec lequel Aqueux Il n’avait pas le choix de se montrer.