4º Nº 167. DAO. sarde. 556 kilogrammes. 18/08 (Taureaux de Cortés)

Quartier fort, grand avec des aiguilles aussi, plein, musclé, plus large que le berceau. Il passe sans finir de s’abandonner sous le manteau de Château.

3º Nº 171. NON EMBALLÉ. Noir. 551 kilogrammes. 18/09 (Taureaux de Cortés)

Agressif le troisième, long et fin, plus détaché du sol. Pitons retouchés. Il est situé à la sortie. Il sera repris par les médias rocher roi. essayez celui de victorien, mais ensuite humilie. Il se dirige à la relance vers le picador de garde et s’enfuit vers celui qui fait la porte. le ramasse très bien Sergio Molina. Le taureau pousse mais se détache ensuite. Ils s’en occupent également dans la deuxième tige. Il semble Château dans un retrait par chicuelinas et tafalleras. bien traité ébrécherle taureau se tient dans le deuxième tiers, où il brille Antonio Chacon.

Fournit Roca Rey au public. Il commence à se battre sans tester sur sa main droite, sans même fermer le taureau. Lancez la musique. La Giralda sonne. Deux séries très solides, nourries de béquilles, avec pilotage, réglage et étanchéité. Côté gauche, le taureau se donne moins, mais la puissance de Roca Rey finit par s’imposer. La péruvienne retentissante. Dans la dernière série à droite, de grande dimension, le taureau chante déjà la poule et se détache de chaque embroque. Il va chercher l’épée et tire sur l’animal d’un coup d’épée dévastateur. Oreille de personnage de tauromachie.

2º Nº 131. JABARDILLO. Noir. 520 kilogrammes. 18/03 (Victoriano del Río)

Cinqueño aussi le deuxième, long, beau taureau, à cornes antérieures, avec un cou, très Astifino. Répétez dans la cape humiliante mais sans vous détacher des vols. Ne vous laisse pas finir de vous étirer Juan Ortega. Ils le mesurent à la cuirasse, ils lèvent bientôt le bâton. Le taureau est laissé pour frapper. Fait du fil en banderilles.

Le taureau proteste au début de l’abattage, quand ortega il veut le faire savoir aux médias. Très cassé. Première série avec la droite dans les médias, le taureau cale, ça manque de transmission. Et cela ne va pas loin de la tromperie non plus. Toujours sur les bras pour son manque de force. Le sévillan accompagne l’attaque avec grâce dans quelques béquilles, il y a un beau changement de main, mais le taureau ne finit pas de casser. Et le travail non plus.

1º Nº 110. DÉVERSÉ. Ruban noir. 555 kilogrammes. 18/03 (Victoriano del Río). Pour Sébastien Castella.

Le premier à découvrir sort, un cinqueño profond, avec de la présure, plein, boutonné avec des bois. Il freine de manière ostensible dans le capot de Château et s’enfuit. Le torero français le relève, laissant la cape sur son visage. Humilie mais manque de zèle. Il se précipite quand il sent le fer mais s’accroche ensuite à la cuirasse, où il se laisse frapper avant de se détacher. « Quita avec grâce » par chicuelinas ortega. Le taureau, qui est encore très lâche, abanto, a tendance à rouler vers l’intérieur, se déplace avec une longueur parallèle aux tables. Ça fait mal aux banderilles.

Il est jaloux en parallèle Château, le ramasser et le présenter aux médias avec tauromachie et élégance. Entre les deux galons il construit la première tâche, laissant la béquille au visage, prenant l’attaque très lentement, très cousue, avec une grande subtilité. Il l’ouvre dans la série suivante et le taureau, plus médiatique, a tendance à repartir. Le Français est bien installé dans la série suivante sur le python droit, où il peut mieux capter les assauts de l’animal. Il se ferme à deux mains, accompagnant l’animal en vol. Il avait de la qualité victorien, il lui manquait le zèle nécessaire pour que sa note soit plus haute. fente arrière de Château qu’il faisait frais et dégagé devant lui.

Onglet Célébration :

Fer de corrida de Cortés - Espagnearène de La Maestranza Royale de Cavalerie de Séville. 10 de la Foire d’Avril. Plein de ‘pas de billets’. taureaux de Rivière victorienne (1ère, 2ème et 6ème) et Taureaux de Cortés,

SÉBASTIEN CASTELLA, ovation

JOHN ORTEGA, silence

ROI ROCK, oreille

Rafael Viotti et José Chacón se sont démarqués en banderilles, et avec la cape José Chacón y Viruta.