Âgé de cinq ans, étroit aux tempes et d’un bon profil et de dos droit, le premier faisait de vieilles choses quand il sortait sur la place, restant sous son manteau et se retournant dans son manteau, l’humiliant beaucoup. Fui de la cuirasse Une fois il est devenu jaloux Château il a bien chargé à travers le python droit, étant plus fui à travers la gauche jusqu’à ce qu’il finisse par craquer. Noble de petite race et de bravoure. Il a également humilié le second, un taureau avec l’âge et un nez en biais, avec un bon cou, qui n’était pas beaucoup utilisé dans les cannes et, manquant de race et de force, déplacé sur les mains et donc rebaptisé.

Lâche et manquant de zèle au départ, le troisième, un quatre ans fort et grand, qui a toujours été traité en faveur et qui a bien attaqué sur le coup de pied de but Château. Doux et juste de bravoure, c’était un noble taureau grandement amélioré par rocher roi. Il n’a pas duré longtemps mais il était en bon état. Un autre de 4 ans avec une cape frappante du marronnier, qui est sorti en bougeant sur ses mains et le plus terne de la corrida. Taureau de poids et de volume le cinquième, de cinq à six ans, fort et avec des cheveux sardes. Apprivoisant beaucoup, il avait certaines attaques mais toujours moins et sans fins pour craquer rapidement et très difficilement aller de l’avant pour le tuer.

Et le sixième, un âne avec beaucoup de présure et de sérieux, celui qui plus que ce qui se passe à la foire, a beaucoup apprivoisé et a été à peine mordu, atteignant les banderilles dans un chaos de mouvements et d’affections. passer commande rocher roi et quand il l’a fait, le taureau s’est avéré avoir peu de race mais entre les mains de rocher roi il semblait préférable d’être très compliqué.