Une véritable inondation tombe. Le président ne sort pas son mouchoir. Les tribunes sont vides. Tous les supporters sont dans les tribunes et dans les barrages. L'arène est mise dans des conditions très compliquées. Finalement, la célébration est suspendue.
Deuxième barre : Le début de la deuxième manche est mouvementé, au moment où l'Espagne marque un but joyeux avec les tendidos avant qu'il ne commence à pleuvoir et que les tendidos cherchent à se mettre à l'abri du mauvais temps. Une présentation très juste, qui a de la joie, mais peu de puissance. Mettre l'œuvre à la disposition du public.
Muleta : Il commence à pleuvoir abondamment pendant la tâche muleta, lorsqu'un déluge commence à tomber. L'utrero a de la classe, mais peu de transmission, au sein d'une œuvre très tempérée de Chicarro, mais il n'atteint pas les lignes. Il se retourne à la fin de la tâche, alors qu'il tente de se placer derrière lui sans aucun espace physique possible. Fente très basse. Il n'a pas raison avec le bourreau.
Premier pilotage : L'ouverture de la foire est un bœuf sérieux à l'avant, astifino, mais sans finir à l'arrière, lâche en viande. Jarocho le reçoit dans le style véronique, en mettant en valeur ceux du piton droit, avec un taureau qui n'humilie pas dans la cape. S'enlève pour les chicuelinas serrées Alexandre Chicarro. Fait la réplique Jarocho à la véronique, avec un utrero qui perd son zèle et charge au rythme. Donnez au public.
Béquille : Commencez avec plaisir Jarocho avec un taureau qui commence à charger sans lancer et avec un rythme changeant, avec du mouvement, mais collant, sans finir de sortir. Une tâche qui s'aggrave avec un torero plus raffiné, à mesure que le taureau perd son inertie. Plusieurs lots de Jarocho Ils ont une ligne courbe et une silhouette verticale, donnant toujours la poitrine et accompagnant beaucoup la fente. Une tâche primée, qui a disparu en plusieurs crevaisons. Deux fentes qui montent la garde. Avertissement. Silence.